J. J. Lionel

chanteur belge
(Redirigé depuis J.J. Lionel)

Jean-Jacques Lionel, dit J. J. Lionel, nom de scène de Jean-Jacques Blairon, né le à Binche (Wallonie) et mort le à Comines-Warneton, est un chanteur belge.

J.J. Lionel
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Nom de naissance
Jean-Jacques BlaironVoir et modifier les données sur Wikidata
Pseudonyme
Jean-Jacques LionelVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activité
Autres informations
Site web

Il est connu principalement pour sa chanson La Danse des canards parue en 1981.

Biographie

modifier

Originaire de Binche, Jean-Jacques Blairon est diplômé du Conservatoire de musique de Mons. Musicien professionnel, principalement à la basse, il accompagne le chanteur Jacques Hustin, ou encore le groupe Wallace Collection à la fin des années 1970.

La Danse des canards, succès planétaire

modifier

Musicien dans l'orchestre de l'accordéoniste Hector Delfosse, Jean-Jacques Blairon joue un soir Vogeltjedans (La danse des oiseaux), un morceau instrumental suisse lors d'un concert en région bruxelloise. Devant les réactions enthousiastes du public, Hector Delfosse et son frère Georges décident de mettre des paroles sur cet air de musique, et sollicitent le parolier Éric Genty, chanteur à succès en Belgique dans les années 1960. Jean-Jacques Blairon devient alors J. J. Lionel, et La danse des canards est un succès commercial mondial, avec 3,5 millions de disques vendus[1]. La chanson figure au Livre Guinness des records de l’année 1983 comme la chanson la plus vendue en France en single vinyle, avec plus de 2,5 millions d'exemplaires. En tant qu'interprète, J. J. Lionel touche seulement un pourcentage sur les ventes de disques[2].

J. J. Lionel enregistre ensuite d’autres 45 tours avec des titres comme La Danse des petits chats ou Moi je dois faire pipi, adapté d'un titre italien.

Il crée par la suite avec son épouse un spectacle pour enfants[3],[4].

Vie privée

modifier

J. J. Lionel et son épouse Georgia Ghesquière emménagent le à Comines-Warneton[5] dans la section de Houthem[6].

J. J. Lionel meurt d'une tumeur au cerveau dans la nuit du au [6]. Il est inhumé au cimetière de Bas-Warneton, section appartenant à la commune de Comines-Warneton[7].

Références

modifier

Liens externes

modifier