Aller au contenu

« Patrick Poivre d'Arvor » : différence entre les versions

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Contenu supprimé Contenu ajouté
Bapti (discuter | contributions)
→‎Controverses et condamnation : la phrase introductive (" Il est reproché{{qui}} à Patrick Poivre d'Arvor") n'est pas liée à Acrimed, ce que laissait penser l'organisation précédente
Ligne 99 : Ligne 99 :
== Controverses et condamnation ==
== Controverses et condamnation ==


interview truquée de [[Fidel Castro]] le {{date|16|décembre|1991}} sur [[TF1]]<ref>{{fr}} {{Ouvrage|titre=Almanach critique des médias|éditeur=éditions Les Arènes|auteur=Olivier Cyran, Mehdi Ba|langue=|jour=|mois=|année=2005|lieu=|pages=|isbn=2-912485-83-5|chapitre=PPDA/Castro - Fausse interview, vrai mensonge|commentaire=}}</ref>. Le trucage est démontré le mois suivant par le magazine ''[[Télérama]]'' et le journaliste [[Pierre Carles]] : il consiste à [[Montage|monter]] l'interview pour faire croire que Patrick Poivre d'Arvor s'entretient face à face avec le leader cubain alors que les « réponses » aux questions extraits d'une de ses conférences de presse. PPDA en rejette à plusieurs reprises la responsabilité sur son confrère, le journaliste [[Régis Faucon]]<ref>{{fr}} Jean Teulière, [http://www.acrimed.org/article1062.html « Les fabuleuses histoires de Poivre d’Arvor »] sur [[Acrimed]], 23 avril 2003</ref>.
Il est reproché{{qui}} à Patrick Poivre d'Arvor plusieurs manquements à la [[déontologie du journalisme]].

Le plus célèbre est l'interview truquée de [[Fidel Castro]], diffusée le {{date|16|décembre|1991}} sur [[TF1]]<ref>{{fr}} {{Ouvrage|titre=Almanach critique des médias|éditeur=éditions Les Arènes|auteur=Olivier Cyran, Mehdi Ba|langue=|jour=|mois=|année=2005|lieu=|pages=|isbn=2-912485-83-5|chapitre=PPDA/Castro - Fausse interview, vrai mensonge|commentaire=}}</ref>. Le trucage est démontré le mois suivant par le magazine ''[[Télérama]]'' et le journaliste [[Pierre Carles]] : il consiste à [[Montage|monter]] l'interview pour faire croire que Patrick Poivre d'Arvor s'entretient face à face avec le leader cubain alors que les « réponses » aux questions constituent en extraits d'une de ses conférences de presse. PPDA en rejette à plusieurs reprises la responsabilité sur son confrère, le journaliste [[Régis Faucon]]<ref>{{fr}} Jean Teulière, [http://www.acrimed.org/article1062.html « Les fabuleuses histoires de Poivre d’Arvor »] sur [[Acrimed]], 23 avril 2003</ref>.


En {{date||janvier|1996}}, il est condamné en [[Appel (justice française)|appel]] dans le procès [[Michel Noir]]-[[Pierre Botton]], pour recel d'[[abus de biens sociaux]], à 15 mois de prison avec sursis et {{formatnum:200000}} francs d'amende.
En {{date||janvier|1996}}, il est condamné en [[Appel (justice française)|appel]] dans le procès [[Michel Noir]]-[[Pierre Botton]], pour recel d'[[abus de biens sociaux]], à 15 mois de prison avec sursis et {{formatnum:200000}} francs d'amende.

Version du 4 septembre 2009 à 11:06

Patrick Poivre d'Arvor
Patrick Poivre d'Arvor dans son ancien bureau de TF1
Naissance (76 ans)
Reims
Profession
Ancien présentateur de JT
Écrivain
Conjoint
Véronique Poivre d'Arvor (divorcés)
Agathe Borne (2007-2008, séparés)
Famille
Dorothée Poivre d'Arvor (1962)
Arnaud Poivre d'Arvor (1973)
Tiphaine Poivre d'Arvor (1975-1975)
Solenn Poivre d'Arvor (1975-1995)
Morgane Poivre d'Arvor (1981)
François Chazal Poivre d'Arvor (1995)

Patrick Poivre d'Arvor, né Patrick Poivre le à Reims dans la Marne, souvent surnommé PPDA, est un journaliste et écrivain français.

Présentateur du journal télévisé d'Antenne 2 de 1976 à 1983, il devient le présentateur-vedette du journal télévisé de 20 heures de TF1 de 1987 à 2008 et un personnage majeur du paysage audiovisuel français que ce soit en tant qu'interviewer ou animateur de diverses émissions littéraires. Il inspire la création en 1988 du personnage de PPD, la marionnette centrale de l'émission de Canal+, Les Guignols de l'info.

Biographie

Enfance

Patrick Poivre d'Arvor est le fils d'une mère nantaise et d'un père d'origine bretonne représentant en chaussures souvent absent. Il a une sœur Catherine et un frère Olivier, écrivain et philosophe. Depuis l’âge de deux ans et durant toute son enfance, il passe toutes ses vacances à Trégastel en Bretagne nord, lieu auquel il est très attaché.

Lors de la parution de son roman Les Enfants de l'aube en 1982[1], il a ajouté à son nom - « Poivre » - un pseudonyme - « d'Arvor » - emprunté à son grand-père maternel, Jean-Baptiste Jeuge, relieur et poète connu sous le nom d'auteur de Jean d'Arvor, qui l'avait initié à l'écriture[2].

Études

1962 : Patrick Poivre est bachelier à 15 ans[3],[4]. Au même âge, il devient père de Dorothée avec sa future épouse Véronique. À la suite de cette paternité prématurée, il écrit son premier roman best-seller à l'âge de 15 ans Les Enfants de l'aube vendu à 1,5 million d'exemplaires. Il aura cinq autres enfants, Arnaud Poivre d'Arvor (1973), Tiphaine (1975-1975), Solenn (1975-1995), Morgane (1981, Juriste) ainsi que François Chazal Poivre d'Arvor, né en 1995 de sa liaison avec Claire Chazal.

Il commence ses études à l'Institut d'études politiques de Strasbourg, où il effectue sa première année, profitant ensuite des procédures en place à l'époque pour aller à l'IEP de Paris. Il est alors militant des Républicains indépendants (favorables à Valéry Giscard d'Estaing), et responsable régional de son mouvement de jeunesse, les Jeunes républicains indépendants (JRI) dont il avait intégré le bureau national avant d'en devenir le vice-président[5] (il figure d'ailleurs à la « une » Le modèle {{Guillemets}} ne doit pas être utilisé dans l'espace encyclopédique du mensuel France Moderne n°350 de mars 1970, le journal de la Fédération nationale des républicains indépendants).

Il obtient ensuite un diplôme de l'Institut d'études politiques de Paris et il étudie le russe et le serbo-croate à l'Institut national des langues et civilisations orientales[6].

1970 : âgé de 22 ans, il intègre finalement le Centre de formation des journalistes (CFJ) pour devenir journaliste.

France Inter

1971 : Lauréat du concours « Envoyé spécial » de France Inter[7], il débute sa carrière de journaliste sous la direction de Roger Gicquel, où il est chargé des journaux du matin et de la revue de presse[3]. Il devient ensuite grand reporter et militant giscardien.

Antenne 2

En 1974, à l'arrivée de Valéry Giscard d'Estaing à l'Élysée, il entre à Antenne 2 où il devient chef du service « politique intérieure »[3], puis chef du service « politique, économique et social »[3]. Il anime très vite sa première émission télévisée dès 1975.

En 1976, Jean-Pierre Elkabbach le choisit pour être rédacteur en chef adjoint du journal télévisé de 20 heures qu'il présente du 16 février 1976 au 28 juillet 1983.

De 1979 à 1981, il est éditorialiste de la rubrique « Humeur du jour » sur France Inter à 7 h 45. En 1981 il doit partager la présentation du journal de 20 heures avec Christine Ockrent (en alternance une semaine sur deux).

En 1982, pour la première fois de son histoire, le journal de 20 heures d'Antenne 2 devance celui de TF1 en nombre de téléspectateurs. En 1983, PPDA anime avec Jacqueline Alexandre une émission hebdomadaire d'information aux consommateurs, À nous 2 sur Antenne 2. Il quitte la chaîne publique Antenne 2 pour rejoindre la nouvelle chaîne Canal+ où il anime le débat télévisé Tous en scène jusqu'en 1986.

En 1985, il fait un rapide passage sur RMC, puis un bref retour à Antenne 2 comme producteur de télévision.

TF1

En 1986, PPDA rejoint TF1 présidé par Hervé Bourges pour présenter l'émission dominicale À la folie pas du tout[3] jusqu'en 1987.

En 1987, TF1 est privatisé et désormais sous le contrôle, le 6 avril de Francis Bouygues. Les président et vice-président Patrick Le Lay et Étienne Mougeotte le choisissent à partir du 31 août pour succéder à Roger Gicquel, Jean-Claude Bourret, Bruno Masure, Claude Sérillon, Ladislas de Hoyos et Marie-France Cubadda aux rênes du journal télévisé de 20h du lundi au jeudi, qu'il présente en alternance avec Claire Chazal le week-end. Le journal de la chaîne redevient le plus regardé de France devant celui d'Antenne 2[3]. Il présente également l'émission À la folie le dimanche jusqu'en 1988.

En 1988, Patrick Poivre d'Arvor obtient de TF1 de présenter une émission littéraire en dernière partie de soirée. Ex-libris deviendra le Vol de nuit[3]. À partir de la création de la chaîne d'information en continu LCI par le groupe TF1 en 1994[8], il anime également l'émission littéraire Place au livre.

En 1989, il devient également directeur délégué à l'information de TF1 sous la direction de Patrick Le Lay (PDG de la chaîne depuis le 23 février 1988).

En 2000, il est nommé vice-président de la nouvelle chaîne régionale bretonne privée TV Breizh lancée en septembre par Patrick Le Lay.

Le , il coprésente avec Arlette Chabot le débat télévisé du second tour de l'élection présidentielle française de 2007 entre Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal. Patrick Poivre d'Arvor a présenté son dernier journal le .

Depuis le 25 août 2008, il est remplacé par Laurence Ferrari à la présentation du journal télévisé de 20 heures en semaine de TF1[9],[10],[11],[12]. Patrick Poivre d'Arvor, qui avait l'intention de continuer à présenter le journal télévisé jusqu'en 2012[13], a souligné que « cette éviction n'[était] pas journalistique »[14]. « Il aimerait bien, le fier albatros, devoir son éviction à des coups de bec un peu trop prononcés sur le nez du président de la République. » ironise Libération à propos des rumeurs d'intervention de Nicolas Sarkozy[15].

En , après une plainte en son nom propre de Nonce Paolini pour « diffamation », Patrick Poivre d'Arvor est condamné par le tribunal correctionnel de Paris à 500 euros d'amende avec sursis ainsi qu'à 1 euro de dommages et intérêts[16]. Au cours d'une interview au magazine mensuel Bretons en juillet 2008, l'ancien présentateur du 20 heures avait accusé le président-directeur général du groupe TF1 d'avoir « installé un système de pointage avec des badges » et monté une « police privée chargée de scruter les moindres déplacements »[17].

Parallèlement, le groupe TF1 a porté plainte contre Patrick Poivre d'Arvor auprès du tribunal de grande instance (France) de Nanterre en réclamant 400 000 euros pour « dénigrement ». En échange d'indemnités de 3,5 millions d'euros au départ de la chaîne, le journaliste est tenu à une « obligation de non-critique » de son ancien employeur[18].

RTL, Arte, France 5 et Paris Match

En , Patrick Poivre d'Arvor devient aussi l'un des polémistes intervenant régulièrement dans On refait le monde sur RTL[19]. En , il devient parrain de l'émission Qui l'a lu, sur Gulli[20],[21].

Il devrait parallèlement réaliser de « grandes interviews tout au long de l'année avec des personnalités de divers horizons » pour l'hebdomadaire Paris Match[22].

À partir de , Patrick Poivre d'Arvor présente sur France 5 La Traversée du miroir, une émission hebdomadaire d'interview de deux personnalités d'une durée de 52 minutes[23],[24].

À partir de , il anime sur la chaîne franco-allemande Arte six numéros de L'avis des autres, un magazine mensuel de géopolitique de deux heures diffusé en première partie de soirée, durant laquelle un panel de vingt-sept téléspectateurs (neuf Français, neuf Allemands, neuf représentants d'autres pays européens)[25],[26] interroge différents invités. Le magazine réalise toutefois des audiences jugées très faibles[27] : 1,1 % de part de marché soit 272 000 téléspectateurs par exemple pour le deuxième numéro en mars 2009.

Controverses et condamnation

Patrick Poivre d'Arvor manque de déontologie en proposant une interview truquée de Fidel Castro le sur TF1[28]. Le trucage est démontré le mois suivant par le magazine Télérama et le journaliste Pierre Carles : il consiste à monter l'interview pour faire croire que Patrick Poivre d'Arvor s'entretient face à face avec le leader cubain alors que les « réponses » aux questions ne sont que des extraits d'une de ses conférences de presse. PPDA en rejette à plusieurs reprises la responsabilité sur son confrère, le journaliste Régis Faucon[29].

En , il est condamné en appel dans le procès Michel Noir-Pierre Botton, pour recel d'abus de biens sociaux, à 15 mois de prison avec sursis et 200 000 francs d'amende.

Par ailleurs ses relations mondaines nombreuses et le caractère de sa vie privée ont fait de PPDA un sujet habituel de la presse à scandales, à laquelle il a consacré un livre avec Éric Zemmour, Les Rats de garde.

Vie privée

Patrick Poivre d'Arvor s'est marié à Véronique Courcoux (née à Tarbes le , institutrice, puis mère au foyer), dont la famille est originaire de Saint-Brieuc. Ils sont désormais[Quand ?] divorcés.[réf. souhaitée]

Entre 2007 et juillet 2008, il a une relation avec Agathe Borne, chroniqueuse dans l'émission Vol de nuit.

Famille et liens familiaux

Patrick Poivre et ses trois enfants (dont son fils Arnaud Poivre d'Arvor) ont déposé une requête en changement de nom auprès du Conseil d'État[30], afin de changer leur nom de famille en Poivre d'Arvor. La requête aurait été satisfaite très rapidement[31].

La base généalogique de Daniel de Rauglaudre le fait descendre de Hugues Lepoivre établi au XVIIe siècle à Fouquières-lez-Lens dans le Pas-de-Calais.

Le , une de ses filles[32] Solenn, âgée de 19 ans, atteinte d'anorexie mentale, se suicide en se jetant sur une rame de métro. Elle a laissé une lettre à son père : « Merci pour tout mais je n’aime pas la vie. Je veux être incinérée et gardée dans une petite boîte, mais pas jetée à la mer. » PPDA lui a dédié deux livres Lettres à l'absente (1993) et Elle n'était pas d'ici (1995). Le 29 avril, Claire Chazal accouche d'un enfant nommé François, né d'une liaison avec lui, longtemps niée au public et à la presse jusqu'à ce qu'il reconnaisse la paternité de l'enfant pour la première fois en 2005 dans son livre Confessions paru chez Fayard.

Lors des élections européennes de 2004, l'une de ses filles, Morgane Poivre d'Arvor[33], est numéro deux de la liste « L'Ouest au cœur » (UMP) présentée par Michel Hunault[34].

PPDA se dit « Breton d'origine et de cœur », quoique né à Reims, dans la Marne. Il possède une maison de vacances dans les Côtes-d'Armor, sur la côte de granit rose à Trégastel[35], « à un kilomètre du château de Costaeres » comme il le dit lui-même dans une interview accordée à la chaîne bretonne Armor TV, dont il est le parrain.

Loisirs

En 1996, PPDA participe avec Laurent Bourgnon à la Transat Québec-Saint-Malo pendant 11 jours.

En 2001, il participe au Marathon de New York en terminant le parcours en 5 h 26[36].

Bibliographie

Patrick Poivre d'Arvor est un écrivain prolifique avec une quarantaine d'œuvres littéraires, co-écrites pour certaines avec son frère Olivier Poivre d'Arvor. Une partie de son œuvre est d'inspiration autobiographique.[réf. souhaitée]

Cinéma

Patrick Poivre d'Arvor a fait plusieurs apparitions dans des œuvres cinématographiques, interprétant souvent son propre rôle de présentateur du journal télévisé.

Engagement

Patrick Poivre d'Arvor (à droite) avec Maud Fontenoy et Paul Vergès en octobre 2006.

Ancien militant giscardien[37], il est membre du club Le Siècle[38].

En 2006, il participe au théâtre de la Madeleine à la mobilisation en faveur des populations du Darfour et parraine un défi sportif de la navigatrice française Maud Fontenoy.

En 2007, PPDA participe avec Sylvie Pinatel à la course Le Grand Parcours sous le drapeau de Reporters sans frontières.

Distinctions

Patrick Poivre d'Arvor a été fait chevalier de la Légion d'honneur en puis a été élevé le au grade de commandeur dans l'ordre des Arts et des Lettres par le ministre de la Culture, Renaud Donnedieu de Vabres.[réf. souhaitée]

En , Armor magazine lui a décerné le titre de « Breton de l'année »[39].

Caricature

Le 29 octobre 1982, il est « accusé » dans le Tribunal des flagrants déliresPierre Desproges parle du livre Les Enfants de l'aube de PPDA (qu'il appelle « Passe-moi le poivre d'abord » Le modèle {{Guillemets}} ne doit pas être utilisé dans l'espace encyclopédique, voire « Fais voir aussi la moutarde pendant que tu y es » Le modèle {{Guillemets}} ne doit pas être utilisé dans l'espace encyclopédique).

À partir de 1988, sa caricature marionnette, surnommée « PPD » et animée par l'imitateur Yves Lecoq, assure la présentation du journal satirique Les Guignols de l'info sur Canal+ (d'abord en duo avec la marionnette de Christine Ockrent, puis en solo à partir de 1990. En , dans le cadre du 20e anniversaire de l'émission, il présente en personne sur le plateau, à la place de sa marionnette[40].

Notes et références

  1. (fr) « Dossiers : Patrick Poivre d'Arvor » , TV Magazine,
  2. (fr) « Jean d'Arvor » dans le dictionnaire de biographie rémoise
  3. a b c d e f et g (fr) « Patrick Poivre d'Arvor », sur ActuStar.com (consulté le )
  4. (fr) « PPDA : "Je quitterai la piste, je le ferai sans bruit" », sur nouvelobs.com (consulté le )
  5. Voir notamment François Audigier, « Les jeunes Giscardiens », dans Recherches contemporaines n°6, 2000-2001, p. 9. Disponible au format PDF sur le site de l'Université Paris X.
    Ou encore Pierre-Marie Dioudonnat et Sabine Bragadir, Dictionnaire des 10 000 dirigeants politiques français, Paris, Sedopols, 1977, p. 574
  6. Entretien de Françoise Moreux avec Patrick Poivre d’Arvor, Orients. Bulletin de l’association des anciens élèves et amis des langues orientales, mai 2008, pp.17-18
  7. (fr) « Patrick Poivre d'Arvor », sur le site officiel de France 5 (consulté le )
  8. (fr) Joseph Agostini et Alexandre Raveleau, « Patrick Poivre d’Arvor, le roi de l’info » (partie 2) sur toutelatele.com,
  9. (fr) « TF1 embauche Laurence Ferrari pour le 20h à la place de PPDA » sur le blog de Jean-Marc Morandini,
  10. (fr) « PPDA : une génération d'actu au 20H de TF1 » sur ozap.com,
  11. (fr) « Laurence Ferrari présente le 20H de TF1 à la rentrée 2008 » sur le site de la radio RTL,
  12. (fr) « TF1 : Laurence Ferrari prend les rênes du 20 heures » sur le site de TF1,
  13. (fr) « PPDA sur le départ... en 2012 », Libération.fr,
  14. (fr) « PPDA : “Mon éviction n'est pas journalistique !” »sur le blog de Jean-Marc Morandini,
  15. (fr) Raphaël Garrigos et Isabelle Roberts, « Sans transition, adieu », Libération,
  16. (fr) Julien Mielcarek, « PPDA condamné pour diffamation envers Nonce Paolini » sur Ozap.com,
  17. (fr) Guy Dutheil, « Plaintes en série de TF1 contre l'ancien présentateur Patrick Poivre d'Arvor », Le Monde,
  18. (fr) Emmanuel Berretta, « Polémique - INFO LEPOINT.FR - PPDA : TF1 lui réclame encore 400.000 euros ! », Le Point,
  19. (fr) Julien Lalande, « PPDA "polémiste" sur RTL mercredi ! » sur Ozap.com,
  20. (fr) « Gulli lance ce soir à 20h35, "Qui l'a lu", un nouveau magazine produit par 2P2L consacré à la littérature parrainé par Patrick Poivre D'Arvor. » sur telesatellite.com,
  21. (fr) « Qui l'a lu » sur le site officiel de Gulli
  22. (fr) Julien Lalande, « PPDA va travailler à "Paris Match" » sur Ozap.com,
  23. (fr) Julien Mielcarek, « France 5 confirme l'arrivée de PPDA dès le 11 janvier » sur Ozap.com,
  24. (fr) « La nouvelle émission de PPDA sur France5 change de titre » sur le blog de Jean-Marc Morandini,
  25. (fr) Daniel Psenny, « PPDA animera dès février un mensuel sur Arte », Le Monde,
  26. (fr) Julien Mielcarek, « Bande-annonce : PPDA arrive sur Arte dès ce soir » sur Ozap.com,
  27. (fr) Sa. C., « «Canal Presque» et «L'avis des autres» font un bide », sur le site officiel de 20 minutes,
  28. (fr) Olivier Cyran, Mehdi Ba, Almanach critique des médias, éditions Les Arènes, (ISBN 2-912485-83-5), « PPDA/Castro - Fausse interview, vrai mensonge »
  29. (fr) Jean Teulière, « Les fabuleuses histoires de Poivre d’Arvor » sur Acrimed, 23 avril 2003
  30. (fr) Journal officiel de la République française, [précision nécessaire]
  31. (fr) Site officiel du magazine Gala, [précision nécessaire]
  32. (fr) Hélène Mathieu, « PPDA : Je suis passé de la multitude à la solitude », Psychologies magazine n°278, octobre 2008
  33. « Vingt et une listes pour dix sièges à pouvoir, et quelques fortes personnalités », Le Figaro, 8 juin 2004
  34. Présentation des listes sur le site internet du Parlement européen
  35. Interview où il évoque sa relation avec la Bretagne
  36. (fr) Jean-Marc Rapaz, « Marathon: le conseiller d’Etat Mermoud sera plus modeste dimanche », 24 heures,
  37. (fr) Jean Teulière, « Les fabuleuses histoires de Poivre d’Arvor », Action critique médias,
  38. (fr) « Select Club : Le Siècle, club de rencontres des élites françaises. », La République des Lettres,
  39. (fr) « PPDA, Breton de l'année d'Armor-Magazine - Bretagne », Ouest-France,
  40. (fr) Julien Lalande, « Canal : des personnalités ont remplacé les Guignols (vidéo) » sur Ozap.com,

Annexes

Articles connexes

Bibliographie

Liens externes

wikilien alternatif2

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Patrick Poivre d'Arvor.