Aller au contenu

Michèle Cohen-Halimi

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Michèle Cohen-Halimi
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Époque
Nationalité
Formation
Activités
Autres informations
A travaillé pour
Directeur de thèse

Michèle Cohen-Halimi, née en 1963[1], est philosophe, professeure à l'université Paris 8 après avoir été maîtresse de conférences habilitée à diriger des recherches[2] à l’université de Paris-Nanterre, directrice de collection et traductrice française.

Carrière universitaire

[modifier | modifier le code]

En tant qu'élève de l'ENS (Paris)[3], un poste d'allocataire-monitrice normalienne[2] lui est attribué pour trois ans à Paris-Nanterre d' à .

Elle est agrégée et docteure en philosophie. Elle est membre du comité de rédaction des Cahiers philosophiques.

Autrice de nombreux ouvrages, elle a aussi traduit de nombreux textes de langue allemande[4] (Kant, Kleist, Nietzsche, Warburg ou encore Werner Hamacher).

Par ailleurs, depuis elle dirige la collection éditoriale « Critique de la politique » aux éditions Klincksieck[5].

  • Entendre raison, Vrin, 2005.
  • Seul le renversement, Éditions de l'Attente, 2006.
  • L'histoire cachée du nihilisme : Jacobi, Dostoïevski, Heidegger, Nietzsche, en collaboration avec Jean-Pierre Faye, La Fabrique, 2008.
  • Figuren, Éric Pesty Éditeur, 2009.
  • Stridence spéculative, Payot, 2014.
  • L'Anagnoste, Éric Pesty Éditeur, 2014.
  • Le Cas Trawny, à propos des “cahiers noirs” de Heidegger, en collaboration avec Francis Cohen, Sens & Tonka, 2015.
  • L'action à distance : essai sur le jeune Nietzsche politique, éditions Nous, 2021

Références

[modifier | modifier le code]
  1. ep, « Eric PESTY Editeur - Catalogue - Auteur : Michèle Cohen-Halimi », sur www.ericpestyediteur.com (consulté le )
  2. a et b « COHEN-HALIMI, Michèle », Département de philosophie,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. « L'annuaire », sur ens.fr (consulté le ).
  4. « Michèle Cohen-Halimi », librairie l'odeur du book,‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. Florent Perrier, « Miguel Abensour, l’utopie pour fil rouge », En attendant Nadeau, no 37,‎ , p. 68-72 (lire en ligne Accès libre, consulté le )

Liens externes

[modifier | modifier le code]