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21e armée (Union soviétique)

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21e armée soviétique
Image illustrative de l’article 21e armée (Union soviétique)
Canon de 152 mm en 1942.

Création mai 1941
Dissolution Voir et modifier les données sur Wikidata
Pays Drapeau de l'URSS Union soviétique
Allégeance Armée rouge
Type Armée de terre
Guerres Grande Guerre patriotique
Batailles

La 21e armée est une unité de l'Armée rouge durant la Grande Guerre patriotique.

Historique opérationnel

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Créée en à partir des forces du district de la Volga, elle fait partie du Front central lors des combats dans la région du Pripet, puis du front de Briansk dans la région de Belgorod, où elle participe à la contre offensive de l'hiver 1941-1942.

Elle est ensuite rattachée au front du sud ouest avec lequel elle participe à la seconde bataille de Kharkov.

À la dissolution du front du sud-ouest, à la suite des défaites soviétiques lors des phases initiales de l'opération Fall Blau elle est rattachée au front de Stalingrad. Lors de la bataille de Stalingrad, elle assure la couverture de la rive nord du Don et tient notamment les têtes de pont de Serafimovitch et Kletskaïa d'où partira l'opération Uranus : la contre offensive soviétique qui aboutira à l'encerclement de la 6e armée allemande.

Lors de l'opération Uranus la 21e armée participe avec le front du sud-ouest à la rupture du front de la 3e armée roumaine, puis à l'encerclement de Stalingrad. Elle est ensuite rattachée au front du Don pour l'opération koltso qui aboutit à la reconquête de la ville et à la capitulation de la 6. Armee.

Redéployée dans la région de Koursk au mois de , la 21e armée participe à l'endiguement de la contre-offensive Manstein en jouant un rôle important dans la stabilisation du front au sud de la ville, ce qui lui vaut d'être promue au titre de 6e armée de la garde.

De juin à , elle participe à l'offensive Vyborg–Petrozavodsk contre l'armée finlandaise[1].

Liste des commandants

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Notes et références

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  1. Manninen (1994), The numbers available in Krivosheyev's books are only up to the capture of Viborg at the Karelian Isthmus thus missing the heavy fighting between June 21 – July 15 at Karelian Isthmus. Manninen had estimated those numbers based on the daily casualty reports of the Leningrad Front in the archives of the Soviet Ministry of Defense.

Articles connexes

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