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Fougerolles (Indre)

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Fougerolles
Fougerolles (Indre)
L'église Saint-Pierre en 2011.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement La Châtre
Intercommunalité Communauté de communes du Val de Bouzanne
Maire
Mandat
Arnaud Denormandie
2020-2026
Code postal 36230
Code commune 36078
Démographie
Gentilé Fougerollais
Population
municipale
353 hab. (2021 en évolution de +2,92 % par rapport à 2015)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 33′ 50″ nord, 1° 52′ 02″ est
Altitude Min. 187 m
Max. 284 m
Superficie 17,17 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Châteauroux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Neuvy-Saint-Sépulchre
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Fougerolles
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Fougerolles
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Fougerolles
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Fougerolles
Liens
Site web www.fougerolles36.fr

Fougerolles est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Géographie

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Localisation

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La commune est située dans le sud[1] du département, dans la région naturelle du Boischaut Sud.

Les communes limitrophes[1] sont : Saint-Denis-de-Jouhet (4 km), Sarzay (5 km), Chassignolles (6 km), Neuvy-Saint-Sépulchre (6 km) et Tranzault (8 km).

Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Neuvy-Saint-Sépulchre (6 km), La Châtre (9 km), Châteauroux (30 km), Issoudun (44 km) et Le Blanc (62 km).

Carte
Localisation de la commune de Fougerolles

Hameaux et lieux-dits

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Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : les Clous, les Granges et Ribes[2].

Géologie et hydrographie

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La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible [3].

Le territoire communal est arrosé par la rivière Vauvre[2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 838 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jeu-les-Bois-Auto », sur la commune de Jeu-les-Bois à 13 km à vol d'oiseau[6], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 746,6 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports

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Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 19, 19E, 75 et 927[10].

La ligne d'Argenton-sur-Creuse à La Chaussée passait par le territoire communal, une gare (Sarzay - Fougerolles) desservait la commune. La gare ferroviaire la plus proche est la gare d'Argenton-sur-Creuse[10], à 29 km.

Fougerolles est desservie par la ligne H du Réseau de mobilité interurbaine[11].

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[10], à 39 km.

Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée 654[2].

L'ancienne gare de Sarzay - Fougerolles en 2018.
L'ancienne gare de Sarzay - Fougerolles en 2018.

Au , Fougerolles est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteauroux, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[13]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (48,9 %), zones agricoles hétérogènes (22,9 %), terres arables (20,2 %), forêts (8 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[17] de la commune :

Date du relevé 2013 2015
Nombre total de logements 201 198
Résidences principales 72,2 % 70,1 %
Résidences secondaires 14,2 % 10,3 %
Logements vacants 13,7 % 19,6 %
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 83,3 % 89,3 %

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Fougerolles est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Fougerolles.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 79,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 205 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 184 sont en aléa moyen ou fort, soit 90 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[21].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Fougerolles est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[22].

Ses habitants sont appelés les Fougerollais[23].

La première mention écrite du village est datée de 841 avec une donation de la « villa de Falgerolas[24] ». Cependant, la villa doit être plus ancienne et des traces d'habitat plus ancien, protohistoriques ou celtes, ont été relevées aux abords de Varennes.

Au Moyen Âge, l’ordre de Cîteaux possédait un monastère à Varennes[25]. La fondation de l'abbaye est l'objet d'un conflit entre Garnier de Cluis et Ebbes de Déols dès 1148. Leur suzerain, Henri II Plantagenêt, met fin au conflit en se proclamant fondateur de l'abbaye en 1155 et fait placer sa pierre de fondation. En 1333, dans l'état des dîmes dues à Philippe VI, Varennes et Noirlac devaient donner 10 livres, ce qui fait supposer qu'elles avaient des revenus équivalents[26].

À côté des religieux, la seigneurie de Fougerolles s'était partagée entre plusieurs seigneurs habitant les châteaux de Fromenteau et de Rochefolle.

Politique et administration

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La commune dépend de l'arrondissement de La Châtre, du canton de Neuvy-Saint-Sépulchre, de la deuxième circonscription de l'Indre et de la communauté de communes du Val de Bouzanne[13].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
juin 1995[27],[28],[29] 2020 Marie-Jeanne Lafarcinade DVD Exploitante agricole
Conseillère départementale
2020 2020 Michel Foisel    
2020 En cours Arnaud Denormandie    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

En 2021, la commune comptait 353 habitants[Note 2], en évolution de +2,92 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
581457467493533530596595573
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
526540561572595584613656666
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
728667633526498500462474433
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
385377311289281287314338345
2021 - - - - - - - -
353--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune ne possède pas de lieu d'enseignement.

Manifestations culturelles et festivités

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Équipement culturel

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La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, L'Écho du Berry, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

La commune se situe dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie de La Châtre[13].

La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[34].

Culture locale et patrimoine

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  • Château féodal de Fromenteau (XVe siècle) : il ne reste plus que son pigeonnier, visible depuis la RD 927. Il compte 1 400 niches. Une autre tour est recouverte sous les broussailles.
  • Château féodal de Rochefolle : il fut bâti à la lisière de la forêt de Villemort. De forme approximativement quadrangulaire, il occupait une position forte au-dessus du Gourdon. Transformé en exploitation agricole, il semble dater de la fin de la guerre de Cent Ans.
  • Abbaye de Varennes (XIIe siècle) : abbaye cistercienne fondée sur l'emplacement d'une installation antérieure des disciples de Saint Benoît du VIe siècle qui a été détruite. Abandonnée depuis la Révolution, il reste l'église abbatiale, ouverte au public en été, et deux logis (la Maison de l'abbé, 1699 ; la Maison du prieur, 1725) devenus propriétés privées, ainsi que des communs. Ces bâtiments sont classés monuments historiques (1994), pour les uns, ou inscrits à l'inventaire supplémentaire pour les autres.
  • Église Saint-Pierre (XIIe siècle) : elle date en grande partie du XIIe siècle mais elle a bénéficié de restaurations au XIXe siècle qui lui donnent son aspect actuel. À l'intérieur, la pierre tombale d'un abbé de Varennes, Jean VI, est exposée.
  • Monument aux morts
  • Croix de pierre (XVIe siècle) : la croix vient de l'ancien cimetière, elle rappelle la mort tragique de la nièce du seigneur de Rochefolle, venue voir son fiancé parti à la chasse. Elle mourut de frayeur en voyant un pendu[35].
  • Chêne des Pendus (XVe siècle) : planté selon la légende, il est situé sur la commune de Saint-Denis-de-Jouhet mais est la propriété de Fougerolles. Au cœur du bois de Villemort, il aurait été planté par le seigneur de Rochefolle, égaré lors d'une chasse, en contrepartie de l'aide d'un vieillard. Son nom lui vient de son rôle lors des battues au loup : il servait à y suspendre les carcasses des fauves.

Personnalités liées à la commune

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Articles connexes

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Lien externe

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b et c « Indre », sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
  2. a b et c « Fougerolles » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
  3. « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Fougerolles et Jeu-les-Bois », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Jeu-les-Bois-Auto », sur la commune de Jeu-les-Bois - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Jeu-les-Bois-Auto », sur la commune de Jeu-les-Bois - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. a b et c « Fougerolles », sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
  11. « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
  12. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  13. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Fougerolles ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Châteauroux », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « Comparateur de territoire : Commune de Fougerolles (36078) », sur le site de l'Insee, consulté le 28 octobre 2018.
  18. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Fougerolles », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  22. « cartographie des risques d'inondations du tri de perpignan/saint-cyprien », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  23. L'Indre : les 247 communes, Delattre, , p. 73.
  24. N Huron, Noms de lieux de la commune de Fougerolles, Fête des toponymes, , p. 17.
  25. Archives départementales de l’Indre, Berry médiéval : à la découverte de l’Indre au Moyen Âge, catalogue d’exposition, Châteauroux, Archives départementales de l’Indre, 2009, p. 20.
  26. G Wolkowitsch, L'Abbaye royale de Varennes, Lancosme multimédia, , p. 13.
  27. « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  28. « Résultats des élections municipales 2008 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  29. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.
  35. A De Montigny, À la découverte des églises de l'Indre, Patrimoines et Médias, , p. 189.