Aya Nakamura

Aya Nakamura est devenue en quelques années seulement la chanteuse francophone la plus écoutée au monde. Ses chansons pop aux accents R&B et afrobeat ont été entendues plus de deux milliards de fois sur YouTube. Née à Bamako au Mali en 1995, Aya Danioko grandit en banlieue de Paris avec ses parents. Adolescente, elle écrit dans son journal intime des poèmes qui serviront de base à ses premières créations. Alors qu’elle n’a que 19 ans, la jeune femme attire l’attention sur Facebook avec la pièce « Karma », puis avec « J’ai mal », un deuxième simple qui dépasse rapidement le million de visionnements sur YouTube. Nakamura abandonne ses études en mode pour se consacrer à sa carrière musicale. En août 2017, l’autrice-compositrice-interprète lance son premier album, Journal intime. On y reconnaît déjà les traits qui deviendront la marque de commerce de Nakamura : des mélodies accrocheuses qui s’appuient sur des rythmes afro-caribéens, des textes universels où se mélangent le français et l’argot et une technique de chant que l’artiste a apprise en écoutant sa mère, dernière d’une lignée de griots (une caste de chanteurs-conteurs africains). Si cette première œuvre attire l’attention, c’est avec le phénomène « Djadja », sorti en avril 2018, que la chanteuse fait danser toute la planète. Le vidéoclip est vu plus de 700 millions de fois. Le deuxième album, Nakamura, est lancé en novembre 2018. En novembre 2020, l’autrice-compositrice-interprète présente Aya, qui obtient un succès instantané, générant en quelques jours des millions d’écoutes un peu partout dans le monde.