Sainte-Scolasse-sur-Sarthe

commune française du département de l'Orne

Sainte-Scolasse-sur-Sarthe est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie.

Sainte-Scolasse-sur-Sarthe
Sainte-Scolasse-sur-Sarthe
L’église Sainte-Scolasse.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Orne
Arrondissement Alençon
Intercommunalité CC de la Vallée de la Haute Sarthe
Maire
Mandat
Lucette Beaudoire
2024-2026
Code postal 61170
Code commune 61454
Démographie
Population
municipale
582 hab. (2021 en évolution de −6,73 % par rapport à 2015)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 34′ 39″ nord, 0° 23′ 32″ est
Altitude Min. 158 m
Max. 221 m
Superficie 13,88 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Écouves
Législatives Première circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://ccvhs.fr/31communes/ste-scolasse-sur-sarthe/

Géographie

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Localisation

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La commune, située sur l’axe Alençon/L’Aigle et Mortagne-au-Perche/Sées, se trouve à la limite de trois régions naturelles : Le Perche, le Pays d'Ouche et les Plaines

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Montchevrel, Bures, Champeaux-sur-Sarthe, Saint-Aubin-de-Courteraie, Le Plantis, Courtomer et Laleu.

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 13,88 km2 ; son altitude varie de 158 à 221 mètres[1].

Hydrographie

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Carte hydrographique de la commune.

La commune est limitée à l'est par le lit de la Sarthe (rivière), qui forme, en confluant avec la Mayenne, la Maine, un affluent du fleuve la Loire.

Les ruisseaux des Petits Touvois, de la Chitière et de la Boulaye drainent également la commune.

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,4 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 758 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1972 à 2009 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records STE SCOLASSE-SUR-SARTHE (61) - alt : 210 m 48° 35′ 00″ N, 0° 22′ 42″ E
Statistiques établies sur la période 1981-2009 - Records établis sur la période du 01-01-1972 au 31-12-2009
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1 0,6 2,6 4 7,5 10,2 11,9 11,7 9,2 7 3,4 1,4 5,9
Température moyenne (°C) 3,8 4,2 7 9,2 12,9 15,8 17,8 17,7 14,7 11,2 6,7 4,1 10,5
Température maximale moyenne (°C) 6,6 7,8 11,3 14,3 18,3 21,5 23,7 23,8 20,2 15,3 10,1 6,9 15
Record de froid (°C)
date du record
−20
17.01.1985
−13,5
10.02.1986
−10,5
04.03.1986
−5,9
04.04.1973
−5,1
05.05.1979
−1,5
04.06.1991
2,5
04.07.1984
0,6
28.08.1974
−1
12.09.1972
−4,1
24.10.1983
−9
23.11.1993
−11
29.12.1996
−20
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,1
27.01.03
18,8
14.02.1998
22,5
19.03.05
27,3
22.04.1984
32,4
07.05.1976
37,7
30.06.1976
37,8
02.07.1976
38,1
06.08.03
33,2
04.09.1973
26,6
01.10.1985
20
03.11.1972
16,1
07.12.00
38,1
2003
Précipitations (mm) 77 55,9 61,3 57,6 68,2 52,2 64,7 46,5 59,7 78 72,7 84,6 778,4
Source : « Fiche 61454001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme

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Typologie

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Au , Sainte-Scolasse-sur-Sarthe est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61 %), prairies (34,4 %), zones urbanisées (4 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

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En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 360, alors qu'il était de 363 en 2015 et de 352 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 80,8 % étaient des résidences principales, 7,2 % des résidences secondaires et 11,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 80,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 8,6 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Sainte-Scolasse-sur-Sarthe en 2020 en comparaison avec celle de l'Orne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (7,2 %) par rapport au département (10,6 %) et à la France entière (9,7 %).

Le logement à Sainte-Scolasse-sur-Sarthe en 2020.
Typologie Sainte-Scolasse-sur-Sarthe[I 3] Orne[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 80,8 78,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 7,2 10,6 9,7
Logements vacants (en %) 11,9 11,1 8,2

Toponymie

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Le nom de la paroisse est attesté sous les formes Sancta Scolastica en 1050, Sainte Escoiasse en 1403 (traité comme *Scholastia)[13].

L'église est dédiée à Scholastique de Nursie.

La Sarthe est une rivière qui coule dans les quatre départements de l'Orne, de la Mayenne, de la Sarthe et de Maine-et-Loire, dans les deux régions de Normandie et des Pays de la Loire.

Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté le nom de Plaine-sur-Sarthe[1].

Histoire

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Paroisse créée en 1097, Sainte-Scolasse possédait déjà en 1050 une forteresse importante qui appartint au comte de Gloucester et au roi d'Angleterre Henri II et est détruite vers 1150.

Le prieuré Saint-Nicolas fondé par Robert, comte de Mortain est donné à l'abbaye de Grestain de l'ordre de Saint-Benoît en 1167. Sur son territoire existaient la commanderie des Templiers (au lieu-dit Villedieu[Note 4]) et les châteaux de Glapion et de la Haye.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement d'Alençon du département de l'Orne.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Courtomer[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Écouves

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Orne.

Intercommunalité

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Sainte-Scolasse-sur-Sarthe était membre de la petite communauté de communes du Pays Mêlois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes de la Vallée de la Haute Sarthe, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires

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Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mai 1983 mars 2008 Yvette Trassard[14] SE Ancienne contrôleuse des impôts au Trésor Public
Chevalière de l’Ordre national du mérite
mars 2008 2020[15] Alain Belloche[16] SE Agriculteur
mai 2020[17] En cours
(au 25 avril 2024)
    Employée retraitée
Réélue en avril 2024 après des élections municipales partielles[18],[19]

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].

En 2021, la commune comptait 582 habitants[Note 5], en évolution de −6,73 % par rapport à 2015 (Orne : −3,37 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
8809429639391 0071 0051 015940921
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
873852800807751740700637614
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
628610518507516511513512507
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
478520527538538583597550624
2020 2021 - - - - - - -
586582-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Sainte-Scolasse.

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  4. Ce lieu-dit était auparavant le village de Villedieu-sous-Montchevrel, il y avait en son centre une chapelle dédiée à Sainte Madeleine, il disposait d'un moulin et d' un four à pain.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  8. « Fiche du Poste 61454001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Ernest Nègre - 1998 - Toponymie générale de la France: Formations dialectales (suite) et françaises, Page 1590.
  14. « Sainte-Scolasse-sur-Sarthe. Décès d’Yvette Trassard, maire de 1983 à 2008 », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Yvette Trassard, était devenue conseillère municipale en 1977, dans le village où elle possédait une résidence secondaire. Devenue adjointe en 1982, elle est élue maire en 1983 et jusqu’en 2007, retrace Lucette Beaudoire ».
  15. « Municipales à Sainte-Scolasse-sur-Sarthe. Le maire ne se représentera pas », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après 37 années d’engagement municipal, Alain Belloche a décidé d’arrêter ».
  16. « Le maire de Sainte-Scolasse-sur-Sarthe fait un premier bilan de son mandat », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. « Municipales. Lucette Beaudoire prend les rênes de la mairie de Sainte-Scolasse-sur-Sarthe », Le Réveil normand,‎ (Municipales. Lucette Beaudoire prend les rênes de la mairie de Sainte-Scolasse-sur-Sarthe, consulté le ).
  18. « Démissions à Sainte-Scolasse-sur-Sarthe. "Je n'ai rien vu venir" s'étonne le maire », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. « Découvrez la distribution des postes au conseil municipal de Sainte-Scolasse-sur-Sarthe », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.