Aller au contenu

Saint-Sardos (Lot-et-Garonne)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Saint-Sardos
Saint-Sardos (Lot-et-Garonne)
La mairie
Blason de Saint-Sardos
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Agen
Intercommunalité CC du Confluent et des Coteaux de Prayssas
Maire
Mandat
Marie-Thérèse Mérot
2023-2026
Code postal 47360
Code commune 47276
Démographie
Population
municipale
296 hab. (2021 en évolution de +1,72 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 20′ 30″ nord, 0° 28′ 43″ est
Altitude Min. 42 m
Max. 187 m
Superficie 14,46 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Confluent
Législatives 3e circonscription de Lot-et-Garonne
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Sardos
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Sardos
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Voir sur la carte topographique de Lot-et-Garonne
Saint-Sardos
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Saint-Sardos

Saint-Sardos [sɛ̃ saʁdɔs] est une commune française, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Le village se trouve sur une terrasse à l'écart du Lot.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Granges-sur-Lot, Lacépède, Lafitte-sur-Lot et Montpezat.

Communes limitrophes de Saint-Sardos[1]
Granges-sur-Lot
Lafitte-sur-Lot Saint-Sardos Montpezat
Lacépède

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

La commune est drainée par plusieurs ruisseaux, dont le Tort, un affluent du Lot, et donc un sous-affluent du fleuve Garonne.

Le lac de Saint-Sardos s'étend sur 14,9 ha à cheval sur Saint-Sardos et Lafitte-sur-Lot. Il est apprécié des pécheurs[2]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 792 mm, avec 10,2 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Prayssas à 6,4 km à vol d'oiseau[6], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 815,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

La commune est concernée par plusieurs zones naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF).

Au , Saint-Sardos est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,3 %), zones agricoles hétérogènes (29,8 %), cultures permanentes (12,6 %), prairies (5,3 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 181, alors qu'il était de 167 en 2015 et de 177 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 69,8 % étaient des résidences principales, 13,7 % des résidences secondaires et 16,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,6 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Sardos en 2020 en comparaison avec celle de Lot-et-Garonne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (13,7 %) supérieure à celle du département (6,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 88,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85,1 % en 2015), contre 64,7 % pour le Lot-et-Garonne et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Saint-Sardos en 2020.
Typologie Saint-Sardos[I 2] Lot-et-Garonne[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 69,8 81,9 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 13,7 6,3 9,7
Logements vacants (en %) 16,5 11,7 8,2

Risques naturels et technologiques

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Sardos est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels

[modifier | modifier le code]

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[16].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Sardos.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[17]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 1],[18].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2003, 2008 et 2009, par la sécheresse en 2005, 2008 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risque technologique

[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval des barrages de Grandval dans le Cantal et de Sarrans en Aveyron, des ouvrages de classe A[Note 2]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[20].

Un prieuré dépendant de l’abbaye de Sarlat est fondé en 1153, sur la paroisse de l’ancienne église matrice située au lieu appelé l’Église Rouge, disparue avant 1668.

Saint-Sardos est mentionné comme castrum vers 1280. À la suite du contrat de paréage conclu en 1289 entre l'abbé de Sarlat et Philippe le Bel, la fondation de la bastide, encouragée par le roi de France Charles IV est établie en 1318 sur un territoire contrôlé par Édouard II d'Angleterre. Charles IV accorde le statut de bastide à Saint-Sardos et y envoie un sergent pour planter un poteau aux armes du roi de France. Ce statut permet une installation libre des immigrants ce qui inquiète la noblesse locale. Ceux-ci, avec à leur tête Raymond Bernard seigneur de Montpezat, décident de brûler la bastide le et pendent le représentant de Charles IV au poteau du roi. Ce qui est saisi est transporté au château de Montpezat. C'est le prétexte au déclenchement de la Guerre de Saint-Sardos. Charles IV pense que c'est le sénéchal de Guyenne, Ralph Basset de Drayton, représentant d’Édouard II qui est à l'origine de cette attaque. Cette animosité franco-anglaise en Aquitaine est une cause profonde de la guerre de Cent Ans. En , le roi de France Charles IV n'ayant pas obtenu du roi d'Angleterre les satisfactions qu'il demandait, met une armée de 7 000 hommes en campagne commandée par Charles de Valois en [21],[22] . Sans possibilité de résistance, le sénéchal de Guyenne doit se rendre à La Réole, le . Une trêve est conclue en 1325.

Des négociations s'ouvrent alors entre le roi de France et le roi d'Angleterre à l'initiative d'Isabelle de France qui aboutissent au traité du . Édouard II cède à Charles IV tout ce qu'il a gagné au cours de la guerre de Saint-Sardos et doit prêter l'hommage lige au roi de France pour le reste du duché d'Aquitaine en . Mais Édouard II meurt en 1327 et Charles IV en 1328, remplacés par Édouard III et Philippe VI.

Après que le roi d’Angleterre ait retrouvé ses prérogatives sur la Guyenne, la ville neuve de Saint-Sardos, reçoit la confirmation de ses privilèges en 1328.

La bastide est établie sur une plate-forme grossièrement circulaire dont l’église occupe le centre, entourée de fossés encore partiellement visibles. À l’intérieur, le cadastre napoléonien montre que l’habitat villageois forme une 1re auréole autour de l’église, prolongée vers le nord-ouest autour d’une place ; deux rues longitudinales orientées nord-ouest / sud-est paraissent commander le parcellaire de la seconde auréole dont les lanières s’étendent jusqu'aux fossés.

Les destructions de la guerre de Cent Ans (d'après G. Tholin, la bastide de Saint-Sardos est considérée comme non-valeur dans des comptes de 1363 à 1367) ont contrarié durablement le développement de l’agglomération, la plupart des parcelles de la seconde auréole étant encore de nos jours occupées par des jardins. Exceptées quelques maisons en pan-de-bois des XVIe et XVIIe siècles, la plupart du bâti date des XVIIIe et XIXe siècles.

Époque contemporaine

[modifier | modifier le code]
Le monument aux morts.

La commune, instituée par la Révolution française, absorbe en 1841 celle de Saint-Amant[23].

La fusion de quatre communes, dont Saint-Sardos, au sein d'une commune nouvelle a été envisagée puis abandonnée en 2016 à la suite du refus de l'une d'elles. Selon le maire de Saint-Sardos, « c’était le moyen de faire face à la baisse des dotations, à la complexité des lois et règlements qui sont imposés et changent sans cesse, en mutualisant les moyens humains et les compétences[24] »[25].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
L'entrée de la mairie.

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Agen du département du Lot-et-Garonne.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Prayssas[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton du Confluent

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de Lot-et-Garonne.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Saint-Sardos était membre de la petite communauté de communes du canton de Prayssas[26], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes du Confluent et des Coteaux de Prayssas, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1964 1992 Alexandre Claverie    
janvier 1992 mai 2020[27] M. Claude Ressegat[26]   Agriculteur
mai 2020 2023[28] Xavier Mas   Fraisiculteur et pruniculteur
Président national de la Fraise de France
Démissionnaire
août 2023[28] En cours
(au 6 février 2024[29])
Marie-Thérèse Mérot   Ancienne secrétaire commerciale

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

Eau et déchets

[modifier | modifier le code]

La commune s'est dotée d'un réseau d'assainissement collectif en 2014[30].

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Montpezat dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal[31].

Postes et télécommunications

[modifier | modifier le code]

Une antenne de téléphonie mobile est installée dans la commune en 2023[32].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

En 2021, la commune comptait 296 habitants[Note 3], en évolution de +1,72 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
464482532431524612930902854
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
865739694619604619586559558
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
477473438397447477465377398
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
347326254263260243323333303
2017 2021 - - - - - - -
295296-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

[modifier | modifier le code]

La saison théâtrale de la troupe Lous Blagayrès du comité des fêtes, dont la 44e édition a eu lieu en mars 2023[36]

Vie associative

[modifier | modifier le code]
  • Association culturelle Au Plaisir de Lire ;
  • Troupe de théâtre Lous Blagayrès.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Tympan du portail roman de l'église Saint-Sardos
Église Saint-Sardos.
  • Église Saint-Amand de Saint-Amans : abside romane (une bastide avait aussi été fondée à cet endroit par les Anglais, mais elle ne résista pas). Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[38]. Fermée depuis 1960, elle a bénéficié d'ujne restauration qui s'est achevée en 2011[39]
  • Église Notre-Dame de Lussac de Saint-Sardos : fin XIe/début XIIe : abside en cul-de-four. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[40].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Saint-Sardos Blason
De gueules à l’épée d’or posée à senestre, adextrée d’un léopard du même en pointe, au franc-quartier cousu d’azur chargé d’une fleur de lys aussi d’or, à la filière du même chargée de onze tourteaux du champ.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Georges Passerat, La guerre des bastides en Agenais et la fondation de Valence, p. 175-179, Bulletin de la Société archéologique de Tarn-et-Garonne, 1987, tome 112 (lire en ligne)

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  2. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[19].
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier | modifier le code]

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Lac de Saint-Sardos », bouger > loisirs, sur tourisme-lotetgaronne.com (consulté le ).
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Saint-Sardos et Prayssas », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Prayssas » (commune de Prayssas) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Prayssas » (commune de Prayssas) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Sardos », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  19. Article R214-112 du code de l’environnement
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  21. G. Tholin et P. Benouville, Le Château de Madaillan près d'Agen. - II. Madaillan et ses seigneurs au Moyen Âge, p. 455, Revue de l'Agenais, 1886, tome 13 (lire en ligne)
  22. Alain Paraillous, « Guerre de Cent ans : et si une escarmouche en Lot-et-Garonne, le 16 octobre 1323, l’avait déclenchée ? : Le saviez-vous ?L’Aquitaine, province anglaise au XIIe siècle, n’était pas un territoire si paisible. Les tensions entre les locaux et les Anglais étaient monnaie courante. Si bien que la « guerre de Saint-Sardos » en 1224 fut le prélude de ce si long conflit », Sud Ouest,‎ 14/10/2023 mis à jour le 16/10/2023 (lire en ligne, consulté le ).
  23. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Jean Escodo, « Pas de regroupement de quatre communes », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. Valérie Deymes, « Lot-et-Garonne : dix communes cherchent à fusionner en une seule : Plusieurs villes et villages de la Communauté du canton de Prayssas réfléchissent à créer une commune nouvelle. Pour le moment, le consensus n’y est pas. On s’informe », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. a et b Réélu pour le mandat 2014-2020 : Jean Escodo, « Claude Rességat réélu maire », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Concernant la désignation des délégués à la Communauté de communes du canton de Prayssas, le premier adjoint a tenu à préciser qu’il s’agissait « d’une responsabilité importante car la Communauté de communes a de nombreuses délégations et beaucoup de décisions y seront prises ».
  27. Jean Escodo, « La der de Claude Rességat », Sud Ouest,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ) « J’ai été élu conseiller en 1983, 1er adjoint en 1989 et maire en janvier 1992, soit trente-sept ans de mandat et vingt-huit comme maire ».
  28. a et b Jean Escodo, « Saint-Sardos : Pour la première fois, une maire prend la tête de la commune : C’est une adjointe municipale, Marie Thérèse Mérot, qui s’est portée candidate pour remplacer le maire Xavier Mas, démissionnaire », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Jean Escodo, « Saint-Sardos : Marie-Thérèse Mérot a présenté ses premiers vœux », Sud Ouest,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  30. Jean Escodo, « L’assainissement collectif est prêt », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Jean Escodo, « Dernier déballage avant le collège », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Jean Escodo, « Saint-Sardos : l’antenne de téléphonie mobile bientôt en service », Sud Ouest,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Jean Escodo, « Saint-Sardos : « Comprends qui peut ! » avec la saison théâtrale de Lous Blagayrès », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « Eglise Saint-Sardos », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  38. « L'église paroissiale Saint-Amans », notice no IA47001477, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  39. « L’église Saint-Amans renaît de ses cendres », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. « Église paroissiale Notre-Dame de Lussac », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).