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Caudrot

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Caudrot
Caudrot
La mairie (janv. 2010).
Blason de Caudrot
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Réolais en Sud Gironde
Maire
Mandat
Jérémie Gaillard
2020-2026
Code postal 33490
Code commune 33111
Démographie
Gentilé Caudrotais
Population
municipale
1 106 hab. (2021 en évolution de −7,37 % par rapport à 2015)
Densité 181 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 34′ 39″ nord, 0° 08′ 33″ ouest
Altitude Min. 6 m
Max. 111 m
Superficie 6,12 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Saint-Macaire
(ville-centre)
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de l'Entre-Deux-Mers
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Caudrot
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Caudrot
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Caudrot
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Caudrot
Liens
Site web www.caudrot.fr

Caudrot est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Localisation

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Située à la confluence de la Garonne et du Drot (ou Dropt), la commune de Caudrot se trouve à 52 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 9,5 km à l'est de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 7 km à l'est de Saint-Macaire, ancien chef-lieu de canton[1].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes en sont Sainte-Foy-la-Longue au nord, Casseuil à l'est et Saint-Martin-de-Sescas à l'ouest. Sur la rive gauche (sud) de la Garonne, se trouvent les communes de Barie au sud-est et de Castets et Castillon au sud (anciennement Castets-en-Dorthe).

Communes limitrophes de Caudrot
Sainte-Foy-la-Longue
Saint-Martin-de-Sescas Caudrot Casseuil

                   Rive gauche de la Garonne
Castets et Castillon


Barie
Le confluent de la Garonne et du Drot (janv. 2010).

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 812 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Sulpice-de-Pommiers à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 764,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Caudrot est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Macaire[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant huit communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (71,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (40,4 %), forêts (21,4 %), terres arables (16,5 %), zones urbanisées (12 %), zones agricoles hétérogènes (5 %), eaux continentales[Note 3] (4,5 %), prairies (0,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports

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Le pont Eiffel dit de Castets, sur la Garonne - Au premier plan, Caudrot (mai 2009).

La principale voie de communication qui traverse la commune est la route départementale 1113, ancienne route nationale 113 (Bordeaux-Marseille), qui mène à Saint-Martin-de-Sescas et Langon vers l'ouest et à Casseuil et La Réole vers l'est.
Voie de communication fort empruntée pour le franchissement de la Garonne, la route départementale 15 qui commence dans le village conduit vers le sud en direction d'Auros en empruntant le pont dit de Castets.

L'autoroute la plus proche est l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) dont l'accès no 4, dit de La Réole, est distant de 10 km par la route vers le sud-est. L'accès no 3, dit de Langon, se trouve à 11 km vers l'ouest-sud-ouest.
L'accès no 1, dit de Bazas, à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 21 km vers le sud-sud-ouest.

Le territoire communal est traversé par la ligne SNCF Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine et bénéficie d'une gare (halte avec abri mais sans bâtiment).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Caudrot est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Garonne, le canal Latéral à la Garonne et le Dropt. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2000, 2009, 2013, 2018 et 2021[17],[15].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Caudrot.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 515 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 515 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Caudrot doit son nom à l'un des affluents de la Garonne, le Drot (Dròt en gascon), qui s'y jette. À l'époque des Carolingiens, le lieu porte en effet le nom latin de Codo Droti[20], puis on trouve le roman Cauderot (1017)…

Ce toponyme peut s'analyser comme composé du mot latin cauda qui signifie 'queue' et de Dròt le nom de la rivière, ce qui donne 'confluence du Drot'[21].

Mais les formes latines ultérieures diffèrent : Calsdrotium (1079-1095), Causdrocum (1273), Causdrotum (1274), Calciodroto (XIVe siècle)[22]… Ces réfections savantes optent pour un premier terme basé sur le latin calx 'talon' d'où le gascon cauç 'souche'[23]. Cette interprétation aurait donné un système cohérent Cap Dròt pour la source (tête) - Cauç Dròt pour la confluence (pied)[22]. Mais les formes les plus anciennes ne cautionnent pas cette approche.

Son nom gascon est Caudròt [kawˈdrɔt].

Ses habitants sont appelés les Caudrotais[24].

À la Révolution, la paroisse Saint-Christophe de Caudrot forme la commune de Caudrot[25].

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1983 mars 2014 Roland Laporte UMP Président des eaux de Caudrot
mars 2014 mai 2020 Jean-Pierre Jausserand DVG Retraité de l'enseignement
Président de la CC des Coteaux Macariens (2014-2016)
mai 2020 En cours Jérémie Gaillard    
Les données manquantes sont à compléter.

Drapeau de l'Italie Porano (Italie) depuis 1976[26]

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2021, la commune comptait 1 106 habitants[Note 4], en évolution de −7,37 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3921 3291 2231 2691 3071 3671 3501 3521 286
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3161 2931 2361 2841 2661 3261 2451 2301 144
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1071 0741 007950953902825779789
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
7838148098449459339429751 113
2014 2019 2021 - - - - - -
1 1821 1171 106------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Le village dispose d'une boulangerie-pâtisserie, d'une superette, d'un tabac-presse, de trois restaurants, d'un café et de trois salons de coiffure.

Plusieurs artisans exercent dans le village, spécialisés en réparation de matériel agricole, électricité, fermetures, mécanique automobile, maçonnerie, multi-services, conditionnement et filtration du vin et un taxi.

Agriculture

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Le territoire communal est exploité essentiellement par quatre entreprises de viticulture produisant premières-côtes-de-bordeaux et entre-deux-mers.

Autres activités

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La commune dispose de cinq assistantes maternelles agréées, de chambres d'hôtes et d'une maison d'accueil pour personnes âgées.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Le 17 septembre 1847, la foudre endommagea une bonne part de l'édifice. À l'occasion de la restauration qui s'ensuivit, la nef et le sanctuaire furent repeints et le chœur fut décoré de peintures en trompe-l'œil par des peintres bordelais, MM. Vincent et Bonnet ; elles sont aujourd'hui la principale attraction de l'église[32] et sont classées au titre objet aux monuments historiques[33] depuis 1983.
  • Pont de Castets-en-Dorthe
  • Caudrot bénéficie d'un bord de Garonne adapté aux balades et randonnées. C'est le cas de l'emplacement de l'ancien port fluvial, pavé à l'ancienne.
  • Présence de quelques architectures de type moderniste des années 1950.

Personnalités liées à la commune

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  • Pierre Gemin, né à Caudron le 9 juin 1921.

Étudiant à Paris (un des étudiants présents sous l'Arc de Triomphe le 11 novembre 1940, renvoyé dans son foyer en Gironde) Entré dans la Résistance Française durant la Seconde Guerre mondiale, arrêté par les Allemands sur dénonciation et fusillé le 13 juillet 1942 (Association du Souvenir des fusillés du camp de Souge)

Héraldique

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Armes

Les armes de Caudrot se blasonnent ainsi :

De gueules au chevron d’argent accompagné de trois étoiles d’or, au chef aussi de gueules soutenu aussi d'argent, chargé de trois abeilles aussi d’or[34].

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Saint-Macaire, il y a quatre villes-centres (Caudrot, Saint-Macaire, Saint-Maixant, Saint-Pierre-d'Aurillac) et quatre communes de banlieue.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 45,2 km pour Bordeaux, 8,9 km pour Langon et 6,8 km pour Saint-Macaire. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 18 juin 2011.
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Caudrot et Saint-Sulpice-de-Pommiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « St Sulpice De Pommiers » (commune de Saint-Sulpice-de-Pommiers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « St Sulpice De Pommiers » (commune de Saint-Sulpice-de-Pommiers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Saint-Macaire », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Insee, « Métadonnées de la commune de Caudrot ».
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Caudrot », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Caudrot », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. Histoire locale - Première époque sur le site officiel de la commune, consulté le 25 janvier 2010.
  21. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne), n° 5151..
  22. a et b Jacques Boisgontier, Nouvelle revue d'onomastique n° 23-24, 1994, p. 236
  23. Gerhard Rohlfs, Le Gascon : Études de philologie pyrénéenne, Tübingen; Pau, Verlag Max Niemeyer ; Marrimpouey Jeune, coll. « Beihefte zur Zeitschrift für romanische Philologie », , 2e éd. (1re éd. 1935), 252 p. (ISBN 9783484520257 et 3484520256, OCLC 3345494, lire en ligne), n° 218..
  24. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 18 juin 2011.
  25. Historique des communes, p. 14, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 30 mars 2013.
  26. Annuaire des villes jumelées, consulté le 23 janvier 2010.
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Patrimoine - Église Saint-Christophe sur le site officiel de la commune, consulté le 23 janvier 2010.
  32. Patrimoine - Église Saint-Christophe, Peintures en trompe-l'œil sur le site officiel de la commune, consulté le 23 janvier 2010.
  33. « Classement des peintures murales », notice no PM33000462, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consulté le 23 janvier 2010.
  34. Histoire locale - Écusson sur le site officiel de la commune, consulté le 23 janvier 2010.