Fondation Monticelli
Type | |
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Ouverture |
Février 2010 |
Fermeture |
2015 |
Surface |
800 m2 |
Visiteurs par an |
35 000 |
Site web |
Collections | |
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Provenance |
Marc Stammegna |
Pays |
France |
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Division administrative | |
Commune | |
Adresse |
Fortin de Corbières - Route du Rove - RN 568 - L'Estaque |
Coordonnées |
La Fondation Monticelli crée en février 2010 un musée à L'Estaque à Marseille, pour exposer les œuvres de Adolphe Joseph Thomas Monticelli, dans le Fortin de Corbières. Trop excentré pour rester rentable, le musée laisse la place, à partir de 2015, à une exploitation événementielle.
Présentation[modifier | modifier le code]
Le bâtiment a une surface de 800 m2. Le musée organisait trois expositions temporaires par an, et disposait d'une exposition permanente[1]. Il était fréquenté par environ 35 000 personnes par an[2].
La structure était dirigée par l'expert Marc Stammegna, au travers de l'Association Fondation Monticelli. Ce projet était financé par lui-même intégralement[3].
La Fondation Monticelli a cessé d'exister en octobre 2015.
Depuis Juillet 2017, le Fortin de Corbières est devenu un lieu de réceptions événementielles à Marseille pouvant accueillir jusqu'à 600 personnes en extérieur et 99 personnes à l'intérieur du Fort. C'est une adresse offrant une vue exceptionnelle sur la rade marseillaise.
Desserte[modifier | modifier le code]
Le lieu est accessible en voiture. Il est mal desservi par les transports en commun, ainsi en bus, il se trouve à 2 km du terminus de la ligne 35[2].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Présentation du musée sur le site de la Fondation
- Article « Marseille : nos petits musées ne se font pas mousser »
- Dominique Milherou, « Fortin de Corbières, Ex Fondation Monticelli, l'Estaque, Marseille », sur Tourisme-Marseille.com (consulté le )
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Sources[modifier | modifier le code]
- Olga Bibiloni, « Marseille : un musée Monticelli, artiste à part », La Provence, (lire en ligne)
- Dephine Tanguy, « Marseille : nos petits musées ne se font pas mousser », La Provence, (lire en ligne)