Liste des ministres de l'Église réformée de Sancerre
Apparence
Cet article présente une liste des ministres de l'Église réformée de la ville de Sancerre de 1573 jusqu'à 1911, rattachés au temple protestant de Sancerre
Début | Fin | Identité |
---|---|---|
1572 | 1573 | Jean de Léry |
1573 | 1580 | François de Mare dit de Claireau[1] |
1580 | 1598 | Garnier |
1598 | 1617 | Adam Dorival[2] |
1617 | 1647 | Paul Alard (avant 1597-après 1647), d'origine rochelaise. |
1647 | 1667 | Jacques Gantois (mort le 24 mars 1692), fils d'Eusèbe Gantois, ministre de Sedan[3]. |
1667 | 16 | Pierre Gantois (1644- ) |
16 | 168 | Le Fèvre |
1789 | 1791 | Lombard Lachaux |
1791 | an7 | MM. Abraham-François Malfuson[4] |
an7 | an12 | Darnaud |
an12 | 18 | David Combes |
1830 | 1830 | Jalaguier, Duvivier[5] |
1846 | 1846 | Clavel[6] |
avant 1901 | 11.9.1911 | (Jules-)Louis Nazelle[7] |
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Au moment de la reddition de la ville de Sancerre, en août 1573, et après 8 mois de siège, il prononce une prédication à l'appui du livre du prophète Joël; Nakam (G.),id., 230 et p.261-263
- Haag E. et É., La France protestante, Paris, Cherbuliez, t. 4, 1853, p. 303-304.
- Des éléments différents dans Bots H., « Les pasteurs français au Refuge des Provinces-Unies : un groupe socioprofessionnel tout particulier, 1680-1710 », J. Häseler et A. McKenna (dir.), La vie intellectuelle aux Refuges protestants, Paris, Honoré Champion, 1999, p. 9-68. Jacques Gantois aurait été pasteur depuis 1637 à Sedan et serait arrivé à Gorkum aux Provinces-Unies en 1685-1686 à l’âge de 74 ans. Il y aurait rempli les fonctions de ministre avec son fils Pierre et il meurt le 24 mars 1692.
- MALFUSON, Abraham François Honoré?, avoué à Sancerre, né le 9 mars 1768 à Bohain, Aisne, décédé le 23 avril 1847 à Sancerre, Cher
- Almanach royal et national, Publié par Guyot, 1830
- Almanach royal et national, Publié par Guyot, 1846
- Familles du CAUZE de NAZELLE et autres
- Étienne de Blois-Champagne, premier comte de Sancerre, Jacques Faugeras, p.211