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Morizès

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Morizès
Morizès
La mairie (août 2011)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Réolais en Sud Gironde
Maire
Mandat
Michèle Chovin
2020-2026
Code postal 33190
Code commune 33294
Démographie
Gentilé Morizéens
Population
municipale
537 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 91 hab./km2
Population
agglomération
6 952 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 44° 36′ 46″ nord, 0° 05′ 23″ ouest
Altitude Min. 10 m
Max. 77 m
Superficie 5,87 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine La Réole
(banlieue)
Aire d'attraction La Réole
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Réolais et des Bastides
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Morizès
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Morizès
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Morizès

Morizès [mɔʁizɛs] est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Morizéens[1].

Géographie

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Localisation

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Commune située sur la Vignague et bordée à l'est par le Dropt, la commune se trouve dans l'Entre-deux-Mers, à 61 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 17 km au nord-est de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 7 km au nord-nord-ouest de La Réole, ancien chef-lieu de canton[2]. Elle fait partie de l'unité urbaine de La Réole et de son aire d'attraction.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes en sont Camiran au nord-est, Les Esseintes à l'est, Gironde-sur-Dropt au sud, Casseuil au sud-ouest sur à peine plus d'un km, Sainte-Foy-la-Longue à l'ouest, Saint-Laurent-du-Plan au nord-ouest et Saint-Exupéry au nord.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 829 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Sulpice-de-Pommiers à 6,76 km à vol d'oiseau[6], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 764,8 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Morizès est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Réole[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant cinq communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Réole, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (55,6 %), zones agricoles hétérogènes (16 %), terres arables (11,4 %), forêts (9,8 %), prairies (7,2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports

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La commune est essentiellement traversée, dans le bourg, par la route départementale D15 qui relie Gironde-sur-Dropt au sud à Camiran au nord-est et au-delà à Pellegrue.

L'accès le plus proche à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) est celui de Sortie 4 La Réole distant de 16 km par la route vers le sud.
L'accès Sortie 1 Bazas à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 27 km vers le sud-sud-ouest.
L'accès le plus proche à l'autoroute A89 (Bordeaux-Lyon) est celui de l'échangeur autoroutier avec la route nationale 89 qui se situe à 42 km vers le nord-ouest.

La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 3,5 km par la route vers le sud, de Gironde-sur-Dropt sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine ; celle de La Réole, distante de 8 km par la route vers le sud-est, présente un trafic plus important.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Morizès est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Dropt et la Vignague. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1999, 2009, 2018 et 2021[18],[16].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Morizès.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 249 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 249 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Selon certains, le nom de la commune viendrait du mot marais. Une autre version donne pour origine le mot maoridaire désignant une antique villa romaine détruite par le feu à la suite d'une épidémie[21].

Le nom de la commune est Maurisèth en gascon, ou plutôt Maurisèths, selon la prononciation.

Bénédicte Boyrie-Fénié cite plusieurs formes anciennes : Mauriazelo (ecclesia Sancti Vincentii de ~), en latin, en 1026-1030, Mauriczelo (de ~), en latin, en 1080, Mauriezed (presbyter de ~), en occitan, en 1115, Maurihazels (parrochia de ~), en occitan, en 1273, Morricia (La ~) ?, en 1307-1317[22]. Les formes de 1115 et de 1273 montrent une hésitation entre la conservation de a prétonique et sa perte. Celle de 1273 contient déjà un s final présent dans beaucoup de noms bordelais et bazadais. Dauzat et Rostaing donnent comme étymologie le nom d'homme latin Mauritius, avec le suffixe -ellum[23]. Ernest Nègre opte pour Mauricellus et suppose une attraction des finales en -ès[24].

Mais ni Mauritius, ni Mauricellus n'expliquent a prétonique attesté du XIe siècle au XIIIe siècle. Voilà pourquoi P.-H. Billy, cité par Bénédicte Boyrie-Fénié, propose un diminutif de Maurias, lieu situé dans la commune de Montagoudin, à 7,5 km, associé au suffixe -ellum, qui donne -eth en gascon[25],[22].

La question de -s final pourrait être liée à d'autres cas, comme les noms en -ac devenus -ats (graphie classique occitane -acs)[26]. -s serait la marque d'un collectif : los maurisèths seraient, à une certaine époque, les habitants de *Maurisèth; ensuite, se serait faite une confusion entre la nom des habitants et celui du lieu. La perte de la diphtongue -au- de la première syllabe dans la graphie française Morizès est peut-être due à la prononciation gavache (la Petite Gavacherie était plus grande aux siècles précédents qu'à l'époque récente). Et l'attestation énigmatique de 1307-1317, qui semble annoncer la forme française, si ce n'est pas une erreur, est l'occasion de signaler que Gironde-sur-Dropt, commune limitrophe de Morizès, avait déjà un nom saintongeais en 1087[27]. Mais les deux faits sont peut-être sans rapport.

À la Révolution, la paroisse Saint-Maurice de Morizès forme la commune de Morizès[28].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
juillet 1932 décembre 1962 Jean Sourbet[29] CNI Conseiller général (1945-1962), député (1946-1962), ministre de l'Agriculture (1955-1956)
       
juin 1995 mars 2008 Liliane Bienvenu-Sourbet CPNT  
mars 2008 mars 2014 Jeannine Cuvillier    
mars 2014 En cours Michèle Brissaud-Chovin   Retraitée
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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La communauté de communes du Réolais ayant été supprimée le au profit de la communauté de communes du Réolais en Sud Gironde siégeant à La Réole, la commune s'y retrouve adhérente.
En matière de développement socio-économique, la commune est adhérente, à l'instar des anciennes communes de la Cdc du Réolais, du syndicat mixte du Pays du Haut Entre-deux-Mers (Pays HE2M).

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

En 2021, la commune comptait 537 habitants[Note 4], en stagnation par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
584550628611572636640711620
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
670695681708663653648627700
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
663690715576580588615558553
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
534542514508505507549526545
2021 - - - - - - - -
537--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de La Réole, il y a une ville-centre et quatre communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 6 août 2011.
  2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 46,3 km pour Bordeaux, 14,4 km pour Langon et 5,2 km pour La Réole. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 6 août 2011.
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Morizès et Saint-Sulpice-de-Pommiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « St Sulpice De Pommiers » (commune de Saint-Sulpice-de-Pommiers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « St Sulpice De Pommiers » (commune de Saint-Sulpice-de-Pommiers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de La Réole », sur insee.fr (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Morizès ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de La Réole », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Morizès », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Morizès », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. a et b Renseignements issus d'un panneau d'informations sur la place principale du village, consulté le 4 août 2011.
  22. a et b Bénédicte Boyrie-Fénié, Institut occitan, Dictionnaire toponymique des communes de Gironde, Pau, Éditions Cairn, , 402 p. (ISBN 978-2-35068-012-5), p. 224..
  23. Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des Noms de Lieux en France, édition Librairie Guénégaud, 1984, p. 480.
  24. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, éd. Droz, Genève, 1991
  25. Billy (Pierre-Henri), Toponymie de la vallée du Dropt de l'Antiquité au Moyen Âge, dans Actes du premier colloque de la vallée du Dropt, Montflanquin, 19, 20 et 21 octobre 2001, archives départementales de Lot-et-Garonne, Agen, 2003, p. 84.
  26. Miquèu Audoièr, Ua solucion unica a un problèma doble : lo grop -ts, fonetica istorica e toponimia, País Gascons no 269, p. 8-9, Ortès, Noveme-Deceme 2013
  27. Bénédicte Boyrie-Fénié, Dictionnaire toponymique des Communes, Gironde, Cairn, Institut Occitan, Pau, 2008, p. 157.
  28. Historique des communes, p. 36, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 30 mars 2013.
  29. Maires de Morizès sur Francegenweb.org, consulté le 28 avril 2014.
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.