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Saint-Pierre-de-Bat

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Saint-Pierre-de-Bat
Saint-Pierre-de-Bat
La mairie (avr. 2013).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté des communes rurales de l'Entre-Deux-Mers
Maire
Mandat
Olivier Mehats
2020-2026
Code postal 33760
Code commune 33464
Démographie
Gentilé Pétrusquins ou Pétrusquains
Population
municipale
285 hab. (2021 en évolution de −10,38 % par rapport à 2015)
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 40′ 25″ nord, 0° 13′ 49″ ouest
Altitude Min. 38 m
Max. 101 m
Superficie 8,96 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de l'Entre-Deux-Mers
Législatives Douzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Saint-Pierre-de-Bat
Géolocalisation sur la carte : France
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Saint-Pierre-de-Bat
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Saint-Pierre-de-Bat
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Saint-Pierre-de-Bat
Liens
Site web www.saintpierredebat.fr

Saint-Pierre-de-Bat est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Localisation

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Située dans l'Entre-deux-mers, la commune se trouve à 40 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 16 km au nord de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 9 km au sud-sud-est de Targon, ancien chef-lieu de canton[1].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Gornac, Mourens, Porte-de-Benauge, Arbis et Cantois.

Communes limitrophes de Saint-Pierre-de-Bat
Porte-de-Benauge
Saint-Pierre-de-Bat Gornac
Mourens

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 862 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Sulpice-de-Pommiers à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 764,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Saint-Pierre-de-Bat est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (83,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (46,1 %), forêts (16,1 %), zones agricoles hétérogènes (15,2 %), terres arables (15,1 %), prairies (7,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de Communication et transports

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Les principales voies de communication routière traversant le village, sont la route départementale D19 qui mène vers l'ouest à Arbis puis vers le nord à Branne et vers le sud à Saint-Germain-de-Grave puis à Saint-Macaire et la route départementale D139 qui commence dans le bourg et mène vers l'est à Gornac et Saint-Félix-de-Foncaude et au-delà vers Sauveterre-de-Guyenne. La route départementale D227 traverse le territoire communal à l'est du bourg et mène vers le nord à Cantois et vers le sud-est à Mourens.

L'accès à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est le no 2 de Podensac qui se situe à 16 km vers le sud-ouest.
L'accès no 1 de Bazas à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 30 km vers le sud.
L'accès le plus proche à l'autoroute A89 (Bordeaux-Lyon) est celui de l'échangeur autoroutier avec la route nationale 89 qui se situe à 31 km vers le nord.

La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 12 km par la route vers le sud-ouest, de Cérons sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine. Sur la même ligne mais offrant plus d'opportunités de liaisons, la gare de Langon se situe à 16 km par la route vers le sud-sud-ouest.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Pierre-de-Bat est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible)[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Pierre-de-Bat.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 163 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 163 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1990, 1999, 2005, 2009 et 2020, par la sécheresse en 2003, 2005 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[14].

Le nom de la commune est Sent Pèir de Vaths en gascon.

Ses habitants sont appelés les Pétrusquins ou Pétrusquains[17].

À la Révolution, la paroisse Saint-Pierre-de-Bat forme la commune de Saint-Pierre-de-Bat[18].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 2020 Philippe Acker[19]   Retraité Fonction publique
2020 En cours Olivier Mehats    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21].

En 2021, la commune comptait 285 habitants[Note 1], en évolution de −10,38 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
537454611529391448450462471
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
451470440445464423426357397
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
422364374345310317329315313
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
278256253264251271307304311
2014 2019 2021 - - - - - -
318289285------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,8 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 157 hommes pour 141 femmes, soit un taux de 52,68 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (47,94 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[24]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,3 
90 ou +
0,0 
8,6 
75-89 ans
9,5 
20,4 
60-74 ans
19,7 
26,3 
45-59 ans
27,7 
15,1 
30-44 ans
17,5 
8,6 
15-29 ans
11,7 
19,7 
0-14 ans
13,9 
Pyramide des âges du département de la Gironde en 2021 en pourcentage[25]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,9 
6,7 
75-89 ans
8,9 
15,7 
60-74 ans
16,8 
19,9 
45-59 ans
19,3 
19,9 
30-44 ans
19,2 
19,4 
15-29 ans
18,1 
17,7 
0-14 ans
15,8 

Entre 1968 et 2006, le nombre total de logements a progressé de plus de 33 % (et près de 60 % pour les seules résidences principales).
Cette augmentation s'explique par des constructions de maisons individuelles dues à une hausse du nombre d'habitants, qui est passé de 256 à 304 durant cette période.
Cette évolution démographique explique également la baisse du nombre de logements vacants réduit de moitié entre 1968 et 2006.

Durant cette même période, le nombre de logements occasionnels ou résidences secondaires a évolué, pour finalement retrouvé en 2006 un nombre équivalent à celui de 1968.

Évolution du nombre de logements par catégorie, de 1968 à 2006[26] :
1968 1975 1982 1990 1999 2006
Résidences principales 76 73 81 93 107 121
Résidences secondaires ou occasionnels 10 17 15 14 8 9
Logements vacants 19 27 10 11 14 10
Total 105 117 106 118 129 140

Viticulture : entre-deux-mers (AOC), bordeaux (AOC)

Lieux et monuments

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La façade est tournée vers l'ouest et est percée d'une porte ogivale possédant deux archivoltes, au-dessus de laquelle on trouve une terrasse à mâchicoulis. L'abside compte d'autres parties défensives comme des meurtrières en croix. Son chevet possède de nombreux modillons sculptés de motifs illustrant la vie quotidienne de l'époque[27].
La cloche date quant à elle de 1572. L'église dispose d'une fenêtre à meneaux, datant également du XVIe siècle, ainsi que des chapiteaux ornés de boules ou de feuillage.
À l'intérieur, on trouve une chaire en pierre datant du XVIIIe siècle, ainsi qu'une huile sur toile représentant la Vierge à l'Enfant.
Cette église fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [28] ; auparavant, seul l'abside et le chœur étaient inscrits à l'inventaire depuis le [29].
  • Anciennes demeures
    • Château de Laubarit, au lieu-dit éponyme, de style « benaugean », édifié au XVIIIe siècle puis remanié au XIXe siècle[30].
    • Château Mahourat, au lieu-dit éponyme, édifié au début du XIXe siècle[31].
  • Statue de saint Pierre ès Liens, les mains jointes, enchaînées et priant, située sur un petit promontoire.
  • Source-lavoir de Laubarit datant du XIXe siècle, réaménagé au début du XXe siècle. Ce lavoir servait de lieu de puisage, de lavoir pour battre le linge et d'abreuvoir-pédiluve pour animaux[27],[32].
  • Cette même source alimente le moulin de Brizard, au hameau de Beillerand, toujours équipé de son bief[33]. L'existence du moulin est mentionnée dès le XVIIIe siècle sur la carte de Belleyme. Il fut entièrement reconstruit au XXe siècle.

Personnalités liées à la commune

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 33,2 km pour Bordeaux, 13,7 km pour Langon et 7,4 km pour Targon. Données fournies par lion1906.com, consulté le 18 avril 2013.
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-Pierre-de-Bat et Saint-Sulpice-de-Pommiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « St Sulpice De Pommiers » (commune de Saint-Sulpice-de-Pommiers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « St Sulpice De Pommiers » (commune de Saint-Sulpice-de-Pommiers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  10. Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Pierre-de-Bat ».
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Pierre-de-Bat », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 2 avril 2013.
  18. Historique des communes, p. 58, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 2 avril 2013.
  19. Commune de Saint-Pierre-de-Bat sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 2 avril 2013.
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Pierre-de-Bat (33464) », (consulté le ).
  25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Gironde (33) », (consulté le ).
  26. Saint-Pierre-de-Bat sur le site de l'Insee, consulté le 24 septembre 2009
  27. a et b Rubrique « Patrimoine » sur le site de la commune, consulté le 24 septembre 2009
  28. « Inscription MH de l'église Saint-Pierre », notice no PA00083799, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « L'abside et le chœur », notice no IA00025612, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Château de Laubarit », notice no IA00025634, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Château Mahourat », notice no IA00025636, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Source de Laubarit », notice no IA00025635, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Moulin de Brizard », notice no IA00025620, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.