Aller au contenu

Dortan

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Dortan
Dortan
Mairie de Dortan.
Blason de Dortan
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Nantua
Intercommunalité Haut-Bugey Agglomération
Maire
Mandat
Marianne Dubare
2020-2026
Code postal 01590
Code commune 01148
Démographie
Gentilé Dortanais
Population
municipale
1 953 hab. (2021 en évolution de +5,85 % par rapport à 2015)
Densité 108 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 19′ 00″ nord, 5° 40′ 00″ est
Altitude Min. 300 m
Max. 758 m
Superficie 18,11 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Oyonnax
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pont-d'Ain
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Dortan
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Dortan
Géolocalisation sur la carte : Ain
Voir sur la carte topographique de l'Ain
Dortan
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Dortan
Liens
Site web www.dortan.fr

Dortan est une commune du département de l'Ain, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont les Dortanais.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

La commune de Dortan est située au nord du département de l'Ain, à la frontière avec le département du Jura. La commune est traversée par la Bienne. Elle fait partie du parc naturel régional du Haut-Jura.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Arbent, Oyonnax, Samognat, Chancia, Condes, Lavancia-Epercy, Viry et Thoirette-Coisia.

Communes limitrophes de Dortan
Chancia (Jura) Lavancia-Epercy (Jura)
Condes (Jura)
Coisia (Jura)
Dortan Viry (Jura)
Arbent
Samognat Oyonnax
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Hameaux de la commune

[modifier | modifier le code]

Il est situé au pied de la montagne entre les hameaux d'Emondeau et de Sénissiat, ce hameau historique possède encore une chapelle (Saint-Gras) et une maison forte du XIVe siècle ainsi qu’une école communale (fermée). Bonaz se prononce traditionnellement /bonɑ/, le z final étant muet.

Chapelle rurale, d'abord sous le vocable de saint Grat, puis de sainte Françoise, en l'honneur de Françoise Monnet, religieuse carmélite à Avignon, sous Louis XIII, née à Bonas.

Cette chapelle, abandonnée depuis la Révolution et utilisée comme grenier à fourrage, fut acquise, vers 1860, par M. Noël le Mire, qui la donna aux habitants, restaurée, bénie et livrée au culte.

Bonas est une ancienne seigneurie cédée, en 1373, par Humbert VII de Thoire-Villars, à Hugonin de Dortan, dont les descendants l'aliénèrent à Georges de Festain, chevalier. Celui-ci la céda à François de Dortan, son parent. Claude-François de Dortan l'aliéna de nouveau en 1659. Elle fit encore retour, quelques années après, à la famille de Dortan, pour passer enfin, en 1720, à celle des Gauthier, qui en jouirent jusqu'en 1788.

En 1789 elle appartenait à M. Louis Claret de la Tourette. Le château de Bonas est ruiné.

Il est situé en haut de la montagne, donnant une pleine vue sur le lac de Coiselet en fond de vallée. Son nom vient de l'altération de « Les Monts d'eau »[réf. nécessaire], ancien nom du hameau, à cause des nombreuses sources coulant de la montagne.

Il est situé au pied d'une montagne entre Oyonnax et Dortan et domine la vallée de la Bienne. La localité se compose de deux hameaux, Maissiat d'en haut et Maissiat d'en bas.

Il est situé en amont au sud de Dortan, à quelques centaines de mètres à vol d'oiseau, il est le hameau le plus peuplé de la commune. Son expansion démographique a eu lieu dans les années 1980.

Il est situé au nord-ouest de Dortan, au bord de la Bienne qui atteint là sa confluence avec le lac de Coiselet.

Il est situé à l'est de Sénissiat, à même la pente. Le hameau possède une chapelle.

Cadre géographique

[modifier | modifier le code]

La commune de Dortan est entourée de forêts composées de conifères, principalement des épicéas, des buis, des chênes et des noisetiers.

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans la région climatique Jura, caractérisée par une forte pluviométrie en toutes saisons (1 000 à 1 500 mm/an), des hivers rigoureux et un ensoleillement médiocre[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 446 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Cernon à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 567,8 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Au , Dortan est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oyonnax, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire, qui regroupe 40 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,8 %), prairies (14,4 %), zones agricoles hétérogènes (11,4 %), terres arables (6,7 %), zones urbanisées (5,3 %), eaux continentales[Note 2] (5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5 %)[11].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le village est occupé dès le Ier siècle de notre ère par les Séquanes.

Dortan est évangélisé au VIIe siècle par les moines du monastère de Condat (Saint-Claude). Puis, du IXe siècle à 1708, plus de vingt générations de seigneurs appartenant à la même famille se sont succédé. Le dernier représentant est Jean-François de Dortenc. Le village possédait plusieurs seigneuries : Uffelle, Bonaz, Emondeau (aujourd'hui hameaux de la commune) ainsi que Mons, Arbent et Veyziat.

Époque moderne

[modifier | modifier le code]

De 1400 à 1600, Dortan appartient aux États de Savoie, mais le village est occupé plusieurs fois avant d'être attribué à la France, comme l'ensemble de la Bresse et du Bugey, en 1601 en application du traité de Lyon.

Au cours du XVIIe siècle, la guerre franco-espagnole qui met aux prises les Gris (Bugistes) et les Cuanais (Comtois), ravage Dortan soumis au pillage et incendié.

Le 15 janvier 1637, Dortan est conquis par les troupes comtoises lors de leur offensive en Bugey, pendant la guerre de Dix Ans.

XIXe siècle

[modifier | modifier le code]

Tout au long du XIXe siècle, Dortan est un village où l'on travaille le buis, ce qui lui a vaut d'être connu comme une « capitale du jeu d'échecs »[réf. souhaitée].

XXe siècle

[modifier | modifier le code]

Seconde Guerre mondiale

[modifier | modifier le code]
Monument du martyr à Dortan.

Le village est pillé et incendié par les Allemands (dont des éléments issus des Ostlegionen) en juillet 1944[12]. Sept personnes sont fusillées dont le curé du village et une femme dès le 12 juillet. La terreur se poursuit le lendemain : trois habitants d'Oyonnax, dont un adolescent de 15 ans, sont abattus. Des femmes sont violées. Les 20 et 21 juillet, 15 hommes sont arrêtés et torturés au château de Dortan (une personne connaissant 13 des victimes ne pourra deux jours plus tard en identifier qu'une seule tant les visages et les corps ont été mutilés). Le 22 juillet, les Allemands rassemblent la population au château et incendient dès 7 heures le village qui brûle entièrement. Seul le château de Dortan, alors quartier général des troupes allemandes, a été conservé.

Une « cité provisoire », bâtie afin de reloger les Dortanais, est inaugurée par le président de la République Vincent Auriol, lors d'un voyage qu'il effectue en Savoie.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Découpage territorial

[modifier | modifier le code]

La commune de Dortan est membre de l'intercommunalité Haut-Bugey Agglomération, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Oyonnax. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[13].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Nantua, au département de l'Ain et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[8]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Pont-d'Ain pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[8], et de la cinquième circonscription de l'Ain pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[14].

Administration municipale

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 après 1950 Raymond Berrodier PCF Travailleur du bois, ancien conseiller d'arrondissement (1937-1940)
mars 1983 mars 2001 Bernard Vincent-Genod PCF  
mars 2001 En cours Marianne Dubare[15] PS Retraitée de l'enseignement
Les données manquantes sont à compléter.

Résultats des dernières élections présidentielles (2e tour)

[modifier | modifier le code]

2002 : Inscrits : 1346 - Abst. : 19,69 % - Jacques Chirac : 767 voix (75,49 %) - Jean-Marie Le Pen : 249 voix (24,51 %)

2007 : Inscrits : 1460 - Abst. : 18,29 % - Nicolas Sarkozy : 764 voix (66,84 %) - Ségolène Royal : 379 voix (33,16 %)

2012 : Inscrits : 1350 - Abst. : 19,26 % - Nicolas Sarkozy : 632 voix (62,95 %) - François Hollande : 372 voix (37,05 %)

(Source : Ministère de l'Intérieur).

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[17].

En 2021, la commune comptait 1 953 habitants[Note 3], en évolution de +5,85 % par rapport à 2015 (Ain : +4,96 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0109751 0661 2171 3211 3121 3641 4021 377
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2861 2981 2351 2051 2401 2831 2951 2611 299
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1551 1431 092989999929818486861
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 4071 4251 4451 6092 1072 1862 1002 0881 871
2017 2021 - - - - - - -
1 8461 953-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]
Le château de Dortan.

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • Le château de Dortan est un manoir des XVe – XVIe siècles restauré qui a succédé à une ancienne forteresse bâtie au XIe siècle pour défendre l'axe Lyon - Saint-Claude. En 1320, Renaud de Dortan fit élever la grosse tour de son château malgré l'opposition du sire de Thoire-Villars son suzerain[20]. Jean-François de Dortenc a commis plusieurs méfaits dont la principale conséquence a été la vente du château au secrétaire et conseiller du roi Louis XIV. Puis le château a été acheté et remanié aux XVIIe et XIXe siècles. Le château de Dortan, avec ses jardins, est inscrit aux monuments historiques depuis le . Il demeure une propriété privée. Près de l'entrée du parc de château, se trouve le mémorial du martyr rappelant le massacre de Dortan.
  • Vestiges de la maison forte de Bonaz fondée à la fin du XIVe siècle ?[21] ; la maison forte est acquise, en 1451, par la maison de Savoie pour 50 florins d'or des nobles frères André, Claude et Guillaume Bonard[22].
  • L'église Saint-Martin ; à proximité se trouve la stèle dédiée à l'abbé Dubettier (assassiné le 12 juillet 1944) et la cloche vestige de l'incendie du 21 juillet 1944.
  • Chapelle Saint-Gratien de Bonaz.
  • Lieux et monuments de Maissiat :
    • La Pierre-Qui-Vire, située au sommet de la montagne dominant le village et qui selon la légende « virerait » tous les cent ans ;
    • Présence de trois grottes dans la montagne : la grotte de la fausse monnaie, située sur le flanc nord-est de la montagne, qui domine le village d'Uffel ; la grotte du maquis ; et le puits Vincent, découvert lors de travaux pour l'aménagement d'un réservoir d'eau ;
    • La cascade, d'une hauteur d'environ 10 mètres, située sur le ru en aval du hameau.

Patrimoine naturel

[modifier | modifier le code]
  • Le lac de Coiselet.
  • La « pierre qui vire », à Maissiat.
  • Ruisseau de Merdanson.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Antoine Joseph Robin (1761-1808), général des armées de la République et de l'Empire, y est né.

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Armes de Dortan

Les armes de Dortan se blasonnent ainsi[23] :

De gueules à une fasce d'argent, accompagnée de trois annelets du même[24].

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Dortan et Cernon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Cernon », sur la commune de Cernon - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Cernon », sur la commune de Cernon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  8. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune ».
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Oyonnax », sur insee.fr (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. Evelyne Py, « La peur des Mongols », 19 février 2000, sur le site Mémoire locale et Seconde Guerre mondiale, memoire-net.org, citant : René Laplace, Le Combat d'Oullins, 1944 : 29 août, Édition l'Hermès, Lyon, 1977, p. 28, consulté le 20 janvier 2009
  13. « Haut-Bugey Agglomération - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Découpage électoral de l'Ain (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  15. Élue en 2001 sous le nom de Marianne Guelpa, elle a repris son nom de jeune fille Dubare au cours de son premier mandat, à la suite de son divorce.
  16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  20. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 20 (cf. Dortan).
  21. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó, Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Publitotal, , 834 p., p. 17 - Bonaz.
  22. ADCO, B 8 319, peau 4, compte de la châtellenie de Matafelon, 1450-1452.
  23. Histoire du château de Dortan par l'Association des Amis du Château de Dortan sous la direction de Marius Rollet, ancien propriétaire, et les archives du département de l'Ain.
  24. « Dortan »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur labanquedublason2.com.

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Liseron Vincent-Doucet-Bon, Dortan village de France, , 121 p. (ASIN B003WW2U5Q)
  • Liseron Vincent-Doucet-Bon et Madeleine Vincent, C'était un village de France, Lyon, La belle cordière, , 125 p. (ASIN B001AFUMNY)

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Lien externe

[modifier | modifier le code]