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Mons-en-Montois

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Mons-en-Montois
Mons-en-Montois
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes de la Bassée - Montois
Maire
Mandat
Bruno Demaegdt
2020-2026
Code postal 77520
Code commune 77298
Démographie
Gentilé Montoyens
Population
municipale
443 hab. (2021 en évolution de −4,32 % par rapport à 2015)
Densité 71 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 29′ 20″ nord, 3° 08′ 50″ est
Altitude Min. 66 m
Max. 146 m
Superficie 6,23 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Donnemarie-Dontilly
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Provins
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Mons-en-Montois
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Mons-en-Montois

Mons-en-Montois est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie

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Localisation

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La commune est située à environ 20 kilomètres au nord-est de Montereau-Fault-Yonne[Carte 1].

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Mons-en-Montois
Meigneux Cessoy-en-Montois
Mons-en-Montois Thénisy
Donnemarie-Dontilly Sigy

Géologie et relief

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La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Mons-en-Montois.

Le réseau hydrographique de la commune se compose d'un seul cours d'eau référencé : le ruisseau de Mons, 4,11 km[2], affluent de l’Auxence.

Par ailleurs, son territoire est également traversé par l’Aqueduc de la Voulzie.

La longueur linéaire global de cours d'eau sur la commune est de 1,45 km[3].

Gestion des cours d'eau

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Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[4].

La commune fait partie du SAGE « Bassée Voulzie », en cours d'élaboration en décembre 2020. Le territoire de ce SAGE concerne 144 communes dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de 1 710 km2[5],. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication (SDDEA), qualifié de « structure porteuse »[6].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 710 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Grandpuits-Bailly-Carrois à 17 km à vol d'oiseau[9], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 704,0 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Milieux naturels et biodiversité

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Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13],[14],[15].

Au , Mons-en-Montois est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Donnemarie-Dontilly[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[17],[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[18]. Cette aire regroupe 1 929 communes[19],[20].

Lieux-dits et écarts

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La commune compte 72 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[21].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,7% ), forêts (19,7% ), zones urbanisées (7,7% ), zones agricoles hétérogènes (2,9 %)[22].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[23],[24],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

Planification

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La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Grand Provinois, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) du Grand Provinois, qui regroupe les Communautés de Communes du Provinois et de Bassée-Montois, soit 82 communes[25].

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[26]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].

En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 223 dont 98,7 % de maisons et 0,9 % d'appartements[Note 5].

Parmi ces logements, 85,2 % étaient des résidences principales, 9,6 % des résidences secondaires et 5,2 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 89,3 % contre 8,6 % de locataires et 2,1 % logés gratuitement[27].

Le nom de la localité est mentionné sous les formes « Villa que vocatur Mons in pago Miliduno » en 862[28] ; Mons, villa in pago Milidunensi en 919[29] ; Mons in pago Militunensi en 938[30] ; Mons villa en 978[31] ; Munz vers 1150[32] ; Montes juxta Dominam Mariam en 1250[33] ; Les Mons vers 1250[34] ; Monz en 1275[35] ; Mons en Montois en 1581[36] ; Mons-en-Montois (Décret du ).

Du latin mons, « colline ».

Le Montois est une région naturelle d'Île-de-France.

Plaque commémorative du massacre de 1430.

Le , les Anglo-Bourguignons massacrent 234 habitants, les faisant brûler vifs dans l'église.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1992 2020 Jean-Marie Minost[37]   Retraité
2020 en cours Bruno Demaegdtt[38]   Agriculteur

Politique environnementale

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Équipements et services

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Eau et assainissement

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L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [39],[40].

Assainissement des eaux usées

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En 2020, la commune de Mons-en-Montois gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[41].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[42]. La communauté de communes de la Bassée - Montois (CCBM) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[41],[43].

Eau potable

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En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui gère le service en régie[41],[44].

Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bassée Montois[45].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[47].

En 2021, la commune comptait 443 habitants[Note 6], en évolution de −4,32 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
507480539701502500515523489
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
469454348438405346346318316
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
282285269252263260227269269
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
271245245264326390424426473
2014 2019 2021 - - - - - -
476445443------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee à partir de 2006[49].)
Histogramme de l'évolution démographique

Secteurs d'activité

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Agriculture

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Mons-en-Montois est dans la petite région agricole dénommée le « Montois », une petite région à l'est du département, en limite sud de la Brie[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[50].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[51]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 6 en 1988 à 3 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 60 ha en 1988 à 148 ha en 2010[50]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Mons-en-Montois, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Mons-en-Montois entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[50],[Note 8]
Nombre d’exploitations (u) 6 4 3
Travail (UTA) 7 5 4
Surface agricole utilisée (ha) 360 318 444
Cultures[52]
Terres labourables (ha) 360 318 444
Céréales (ha) 295 206 s
dont blé tendre (ha) 189 147 179
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 69 s s
Tournesol (ha) s
Colza et navette (ha) 23 s 92
Élevage[50]
Cheptel (UGBTA[Note 9]) 3 0 0

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Martin, des XIIIe et XVIe siècles, classée monument historique par arrêté du [53].
  • Depuis , le cimetière de Mons-en-Montois accueille entre ses murs Momtomb, œuvre de l'artiste franco-italien Wolfgang Natlacen[54].

Cinéma associatif

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La ville abritait jusqu'en le « 11×20+14 », un cinéma associatif de cinquante sièges ce qui en faisait la plus petite salle de cinéma de France. La salle est classée « Arts et Essais », doté des labels « Recherche et Découverte » et « Patrimoine et Répertoire »[55].

Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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  • Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Mons-en-Montois », p. 471–473

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Donnemarie-Dontilly comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  5. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  8. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  9. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « Localisation de Mons-en-Montois » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2018)..
  2. « Mons-en-Montois - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  4. « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
  5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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  3. Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 21 juin 2018
  4. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
  5. « SAGE Bassée Voulzie - Documents », sur gesteau.fr (consulté le ).
  6. « Ile SDDEA et sa régie », sur sddea.fr, (consulté le ).
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Mons-en-Montois et Grandpuits-Bailly-Carrois », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Nangis » (commune de Grandpuits-Bailly-Carrois) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Nangis » (commune de Grandpuits-Bailly-Carrois) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Mons-en-Montois », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Mons-en-Montois », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Liste des espaces protégés sur la commune de Mons-en-Montois », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
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  28. D. Martène, Ampliss. coll., I, col. 163.
  29. D. Martène, Ampliss. coll., E, col. 274.
  30. Lauer, Louis IV, p. 28.
  31. Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de la Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 371.
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