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Rauville-la-Place

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Rauville-la-Place
Rauville-la-Place
L'église Saint-Laurent.
Blason de Rauville-la-Place
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Christian Faudemer
2020-2026
Code postal 50390
Code commune 50426
Démographie
Gentilé Rauvillais
Population
municipale
377 hab. (2021 en évolution de −2,33 % par rapport à 2015)
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 23′ 18″ nord, 1° 30′ 17″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 46 m
Superficie 11,88 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Bricquebec-en-Cotentin
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Rauville-la-Place
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Rauville-la-Place

Rauville-la-Place est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 377 habitants[Note 1].

Géographie

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La commune est au sud de la péninsule du Cotentin. Son petit bourg est à 2,5 km à l'est de Saint-Sauveur-le-Vicomte[1].

Le point culminant (46 m) se situe à l'ouest, près du château des Monts. Le point le plus bas (1 ou 2 m) correspond à la sortie de la Douve au sud-est du territoire.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 878 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sainte-Marie-du-Mont à 20 km à vol d'oiseau[6], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 890,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Rauville-la-Place est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11] et hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (96,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (70,7 %), zones agricoles hétérogènes (13,7 %), terres arables (8,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,4 %), zones urbanisées (2,3 %), forêts (1,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Radulfi villa vers 1080[15], Rouvilla (sans date), Sancti Laurentii de Radulfi villa en 1226, Raauvilla en 1262, Rauville Laplace en 1583[16].

Son origine est attribuée à l'anthroponyme germanique Radulf[17] adjoint de l'ancien français ville, à l'origine « domaine rural ».

« Le déterminant la Place correspond au nom de la « Lande de Rauville » où se tenait une foire »[16]. Deux foires se tenaient à Rauville-la-Place, l'une au 10 août, « la Saint-Laurent », et l'autre à la Toussaint appelée « la foire ès Morts »[18], qui continue d'exister.

Le gentilé est Rauvillais.

Au XIIe siècle, la paroisse relevait de l'honneur de Saint-Sauveur-le-Vicomte[19]. En 1107, Richard de Reviers, seigneur de Néhou, donna l'église Saint-Laurent à la collégiale de Néhou qu'il venait de fonder. En 1152, Guillaume de Vernon, son fils, la transféra à l'abbaye de Montebourg[20].

L'une des branches de la famille de Clamorgan était seigneur de Rauville-la-Place[21]. Par la suite, Raoul Le Sage, chevalier de Chandon en Touraine (Amboise), fils de Jeanne Piquet et de Pierre Le Sage, lui même fils de Jeanne de Clamorgan et de Jean Le Sage, fut seigneur de Carteret, de Saint-Plançois-le-Mor (probablement Saint-Sauveur-de-Pierrepont), et en partie de Rauville et Saint-Pierre-Église[22].

Au cours de la guerre de Cent Ans, lors de la prise du château de Saint-Sauveur-le-Vicomte en 1375, par les troupes française de Charles V le Sage, ceux-ci installèrent une de leurs batteries de canons à mi-hauteur de la colline, au Mont de la Place[23]. Sous le règne de Louis XVI, dans la crainte d'un débarquement anglais sur les rivages du Cotentin, et afin de s'y opposer, un camp militaire fut établi sur le mont de Rauville[24].

Il s'y tient depuis le Moyen Âge une foire annuelle dite foire « ès Morts » fixée au premier samedi suivant la Toussaint qui est toujours recherchée pour ses légumes d'hiver[20].

Héraldique

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Armes de Rauville-la-Place

Les armes de la commune de Rauville-la-Place se blasonnent ainsi :
écartelé : au premier et au quatrième d'argent aux trois merlettes de sable, au deuxième et au troisième d'argent à la quintefeuille de gueules[réf. nécessaire].

Politique et administration

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La mairie.
Liste des maires[20]
Période Identité Étiquette Qualité
1830 1847 Joseph Hantonne[25]    
         
1944 1945 Auguste Gallis   Adjoint faisant office de maire
1945 1953 Antoine de Tricomot de Rose    
1953 1960 Louis Laniepce   Éleveur
1960 1965 Albert Yvetot    
1965 1983 Louis Ferey    
1983 1989 Marcel Crespin    
1989 mars 2008 Albert Gallot    
mars 2008[26] mars 2014 Annie Épineaux SE Infirmière libérale
mars 2014[27] En cours Christian Faudemer SE Salarié secteur médical
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[27].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

En 2021, la commune comptait 377 habitants[Note 2], en évolution de −2,33 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Rauville-la-Place a compté jusqu'à 1 006 habitants en 1821.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8528219651 006952898934913956
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
930909888832811838826763723
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
680678665553639583605660653
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
585511418397418432396391389
2017 2021 - - - - - - -
376377-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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Patrimoine religieux

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La chapelle Notre-Dame-de-la-Délivrande.
Le clocher servit au télégraphe Chappe de 1835 à 1854[33].
  • Ancien presbytère du chapelain, situé à proximité de la chapelle. Il fut bâti ou restauré au XVIIe siècle par Jean-Baptiste de Caumont, à l'intérieur, au-dessus d'une porte en accolade, armoiries peintes sculptées en relief avec les armes de la famille de Caumont, anoblie en 1470 : écartelé d'argent ; chargé aux 1 et 4 de trois merlettes de sable ; aux 2 et 3 d'une quintefeuille (allias trois) de gueules. le blason est surmonté d'un casque morné (visière abaissé)[34].
  • Cimetière avec les tombes de Jacques Debout (chanoine René Roblot) et de Achille Alexandre Anger-Billards.
  • Chapelle Saint-Clair des XVIe, XVIIIe – XXe siècles, dans l'enclos, et sa fontaine « miraculeuse » où le saint est imploré pour guérir les maux d'yeux. Elle abrite les statues de sainte barbe et de sainte Marguerite classées au titre objet aux monuments historiques[35].
  • Chapelle Notre-Dame-de-la-Délivrande des XVIe – XVIIIe siècle. L'édifice abrite une stèle en hommage à Jacques Debout, et a la particularité d'avoir une chaire à l'extérieur, comme à l'église de Saint-Lô[36]. Une statue Notre-Dame de la Délivrande du XVIIe est classée au titre objet au monuments historiques[37].
La chapelle fut transformée à la fin de l'Ancien Régime en magasin à fourrage[24]. Menaçant ruine, le sanctuaire fut reconstruit de 1821 à 1823. C'est comme chapelain du lieu que s'installa ici en 1874 Achille Alexandre Anger-Billards, et où il restera trente-deux ans, jusqu'à sa mort[38].

Patrimoine civil

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Le manoir de Garnetot.
  • Manoir de Garnetot des XVe – XVIIe siècles avec pigeonnier, inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du [39]. Il se dresse à l'emplacement d'un ancien château fort constituant une ligne protectrice dans le Cotentin.
  • Manoir de la Cour du XVIIe siècle. Siège de la seigneurie de Rauville au moins dès le XIIIe siècle, le manoir d'origine est remanié au XVIIe siècle[40]. Il arbore une façade de style Louis XIII, avec des frontons triangulaires qui surmontent les fenêtres. C'est à la Cour que serait née la mère de Gilles de Gouberville.
  • Château du Mont-de-la-Place et ses communs des XVIe et XIXe siècles.
  • Château Les Carreaux au Haut du Mont. Haute demeure érigée dans le dernier quart du XIXe siècle en face d'un manoir du XVIe siècle[41].
  • Tourville (XVIIe siècle).
Pour mémoire
  • La Pierre Butée. Mégalithe de 1,75 m à la lande de Rauville, but de promenade de Barbey d'Aurévilly et de Mgr Anger-Billards[20].
  • Ancienne léproserie, située sur la lande de Rauville et dont la chapelle était placée au XIIe siècle sous le patronage de saint Jacques des Lépreux[38].
  • Ancien prieuré des templiers.

Activité et manifestations

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Personnalités liées à la commune

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  • L'écrivain Jacques Debout (Rauville-la-Place, 1872 - Paris, 1939) (chanoine René Roblot).
  • Achille Alexandre Anger-Billards (1826-1906), chapelain de Notre-Dame-de-la-Délivrande, ami de l'écrivain Jules Barbey d'Aurevilly, inhumé dans le cimetière[42].

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Bibliographie

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  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 181.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 483.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale 2021.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Distance routière la plus courte selon Viamichelin.fr.
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine » (consulté le ).
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  6. « Orthodromie entre Rauville-la-Place et Sainte-Marie-du-Mont », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Ste Marie du Mo » (commune de Sainte-Marie-du-Mont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Ste Marie du Mo » (commune de Sainte-Marie-du-Mont) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. Insee, « Métadonnées de la commune de Rauville-la-Place ».
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  15. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 947.
  16. a et b François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, A. et J. Picard, , p. 182.
  17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  18. Hippolyte Gancel, Foires populaires de Normandie, Ouest-France, , p. 84.
  19. Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siècles) : Étude historique et topographique », dans Archéologie médiévale, t. 12, (lire en ligne sur Persée.), p. 181-182.
  20. a b c d et e Gautier 2014, p. 483.
  21. Jean Barros, Le canton de Barneville-Carteret (Côte des Isles) : Le patrimoine, t. 1, Valognes, Éditions de la Côte des Isles, , 391 p. (ISBN 2-9505339-1-4), p. 69.
  22. Barros 1991, p. 70.
  23. Bernard Beck, Châteaux forts de Normandie, Rennes, Ouest-France, , 158 p. (ISBN 2-85882-479-7), p. 138.
  24. a et b Leberruryer, Vikland n°1, p. 71.
  25. Annuaire du département de la Manche, 12e année, 1840, p 228.
  26. « Annie Épineaux élue maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  27. a et b « Rauville-la-Place (50390) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Œuvres mobilières classées à Rauville-la-Place.
  33. Delattre, 2002, p. 181.
  34. Université Inter-Âges de Basse-Normandie - Antenne de Cherbourg (préf. Rodolphe de Mons), Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN 2-85480-543-7), p. 135.
  35. « Statue : Sainte Barbe », notice no PM50000894, et « statue : Sainte femme tenant un livre, dite Sainte Marguerite », notice no PM50000893, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  36. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 183.
  37. « statue : Vierge à l'Enfant dite Notre-Dame de la Délivrande », notice no PM50000897, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  38. a et b Leberruryer, Vikland n°1, p. 70.
  39. « Manoir de Garnetot », notice no PA00110555, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. Girard et Lecœur 2005, p. 207.
  41. Girard et Lecœur 2005, p. 273.
  42. Pierre Leberruryer, « Sous le Second Empire un prêtre normand fit une ardente campagne de presse en faveur des Chrétiens du Moyen Orient », Vikland, la revue du Cotentin, no 1,‎ avril-mai-juin 2012, p. 68-74 (ISSN 0224-7992).