Aller au contenu

Redessan

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Redessan
Redessan
Mairie.
Blason de Redessan
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Nîmes
Intercommunalité Communauté d'agglomération Nîmes Métropole
Maire
Mandat
Fabienne Richard-Trinquier
2020-2026
Code postal 30129
Code commune 30211
Démographie
Gentilé Redessanais / Redessanaises
Population
municipale
4 181 hab. (2021 en évolution de +1,78 % par rapport à 2015)
Densité 269 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 49′ 59″ nord, 4° 29′ 51″ est
Altitude 56 m
Min. 54 m
Max. 76 m
Superficie 15,57 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Manduel
(banlieue)
Aire d'attraction Nîmes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Redessan
(bureau centralisateur)
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Redessan
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Redessan
Géolocalisation sur la carte : Gard
Voir sur la carte topographique du Gard
Redessan
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)
Redessan

Redessan est une commune française située dans le sud-est du département du Gard, en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Buffalon. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « costières nîmoises »), un espace protégé (les « Costières de Nimes ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Redessan est une commune urbaine qui compte 4 181 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération de Manduel et fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Redessanais ou Redessanaises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : la Via Domitienne, inscrite en 1987.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Commune située dans l'aire urbaine de Nîmes sur la ligne Tarascon - Sète-Ville et l'ancienne route nationale 99 entre Nîmes et Beaucaire.

Les communes de Bezouce, Marguerittes, Manduel, Jonquières-Saint-Vincent, Beaucaire et Meynes sont limitrophes de la commune de Redessan.

Redessan est l'une des 79 communes membres du Schéma de Cohérence Territoriale (SCOT) du Sud du Gard (voir lien) et fait également partie des 41 communes du pays Garrigues et Costières de Nîmes.

Hydrographie et Relief

[modifier | modifier le code]

La commune est proche du Rhône et de la Provence, non loin du plateau des Costières contre lequel elle s'appuie.

Transports en commun

[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la ligne 31, 33 et 212 du réseau de bus Tango qui relie Nîmes et Redessan.

Axes ferroviaires

[modifier | modifier le code]

Redessan est desservie par des trains TER Occitanie qui circulent entre les gares d'Avignon-Centre et de Narbonne, ou Montpellier-Saint-Roch, ou Nîmes.

La gare TGV (gare de Nîmes-Pont-du-Gard) se situe à cheval sur la commune de Redessan et celle de Manduel.

Le contournement ferroviaire de Nîmes et de Montpellier se situe lui aussi sur une partie de la commune.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 665 mm, avec 5,9 jours de précipitations en janvier et 2,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Nîmes à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 15,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 734,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

Espaces protégés

[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[7],[8].

Un espace protégé est présent sur la commune : les « Costières de Nimes », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels, d'une superficie de 2 027 ha[9].

Réseau Natura 2000

[modifier | modifier le code]
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « costières nîmoises »[11], d'une superficie de 13 479 ha, qui accueillait, en 2004, 300 mâles chanteurs, soit 60% des mâles reproducteurs de la région et près du quart des mâles reproducteurs en France[12].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

[modifier | modifier le code]
Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[13] : la « plaine de Manduel et Meynes » (9 783 ha), couvrant 15 communes du département[14].

Au , Redessan est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Manduel[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 3]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 4],[I 5].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (93,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (65,2 %), zones agricoles hétérogènes (23,6 %), zones urbanisées (10,7 %), terres arables (0,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Redessan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité modérée)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Nîmes, regroupant 20 communes soumises aux aléas de ruissellement pour la commune de Nîmes et de débordements de cours d’eau, notamment du Vistre, d'un de ses affluents, le Rhôny, et plus à la marge du Rhône, à l’aval, un des 31 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée[18]. Les événements significatifs passés relatifs à la Vistre sont des crues rapides et violentes, qui causent d’importants dégâts, voire des pertes humaines (octobre 1988, septembre 2002, décembre 2003, septembre 2005 notamment). Concernant le Rhôny, les principales crues recensées à Codognan ont eu lieu en 1845, 1933, 1945, 1958, 1963, 1976, 1987 et en octobre 1988. Cette dernière est la plus importante et marquante pour la population nîmoise. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[19],[20]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1990, 1998, 2002 et 2021[21],[16].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Redessan.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 407 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1407 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

Attesté sous la forme Villa de Rediciano, in comitatu Nemausense (cartulaire de Notre-Dame de Nîmes, chapitre 197) en 909. Le nom de la localité est issu de l'anthroponyme latin Reticius suivi d’-anum, suffixe latin de propriété[24] ou encore du nom de personne gaulois *Reticianus (non attesté), forme masculine du nom de personne féminin Reticiana, pris absolument[25].

En juillet 1943, le maire est arrêté par les Allemands ; le conseil municipal démissionne en bloc en signe de protestation[26].

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Redessan Blason
D'argent à la tour de gueules maçonnée de sable d'où isse un dextrochère armé tenant une épée posée en bande, le tout de sable; flanqué en pal à senestre de gueules semé d'ondes alésées en pal d'argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1971 1983 Numa Gleizes[27] PRRRS puis MRG Conseiller général du canton de Marguerittes (1963-1982)
1983 1995 Jacques Hornung    
mars 1995 2014 Hervé Giely PRG Vice-président de Nîmes Métropole
mars 2014 En cours Fabienne Richard SE Professeure de gestion
Les données manquantes sont à compléter.

La commune faisait partie du canton de Marguerittes jusqu'en 2015.

Après 2015, la commune fait partie du Canton de Redessan et de la 6e Circonscription du Gard dont elle est le bureau centralisateur.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la communauté d'agglomération Nîmes Métropole (CANIM), dont le siège se trouve à Nîmes.

Manifestations culturelles et sociétés

[modifier | modifier le code]

La fête votive se déroule chaque année le week-end suivant le . Elle est l'occasion de festivités durant plusieurs jours. C'est une des principales attractions touristiques du village.

Depuis 2015, Redessan accueille chaque année le "Festival de cinéma argentique en plein air"[28]. Il est organisé par l'association "Jean-Paul Boyer, Culture et Cinéma", en mémoire de ce Redessanais qui fonda en 1959 dans le village un laboratoire cinématographique lié à la Cinémathèque française[29]. L'édition 2019[30] a réuni plus de 1 500 cinéphiles.

La commune organise les célébrations à caractère national (Fête du travail, commémoration des armistices de guerre, Fête de la musique…).

La ville de Redessan est impliquée dans la vie sportive avec une vingtaine de sports différents (Foot, Tennis, Danse, Boule, Chasse, etc)

Vie associative

[modifier | modifier le code]

De nombreuses associations sont présentes dans le village.

Un correspondant du journal Midi libre est présent dans le village.

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

En 2021, la commune comptait 4 181 habitants[Note 6], en évolution de +1,78 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7137417929191 1001 0971 1421 2071 216
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3521 5041 6021 4031 2511 0121 0431 1181 153
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1601 1851 1281 1241 1211 1351 1171 1361 145
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 2151 2991 6022 0842 2332 8733 1623 9554 120
2021 - - - - - - - -
4 181--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Agriculture

[modifier | modifier le code]

Bien que diversifiée (abricotiers, pêchers, oliviers), l'essentiel de l'économie agricole repose sur la vigne. Située dans le terroir de l'AOC « Costières de Nîmes » (anciennement appelées « Costières du Gard »), la commune possède sa propre cave coopérative.

Artisanat et commerces

[modifier | modifier le code]

La commune à plus de 100 dans des domaines différents (santé, alimentation, bâtiment, café, restaurant, etc)

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • Via Domitia (tronçon ; également sur communes de Jonquières-Saint-Vincent et Beaucaire, dans le Gard, et Castelnau-le-Lez, dans l'Hérault). Route (Antiquité), inscription MH , propriété de la commune. Adresse : sur le chemin vieux de Jonquières, dit chemin romain. Plusieurs bornes milliaires sont ainsi situé le long de cette voix et sont visibles dans la commune.
  • Église Saint-Jean-Baptiste de Redessan.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Drapeau de l'Espagne Benifairó de la Valldigna (Espagne)

Drapeau de la France Issenheim (France)

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[10].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Manduel, il y a une ville-centre et une commune de banlieue.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier | modifier le code]
  1. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Manduel », sur insee.fr (consulté le ).
  3. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Redessan ».
  4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nîmes », sur insee.fr (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Redessan et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Nîmes-Courbessac » (commune de Nîmes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Nîmes-Courbessac » (commune de Nîmes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  8. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « les « Costières de Nimes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  11. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Redessan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « site Natura 2000 FR9112015 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Liste des ZNIEFF de la commune de Redessan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF la « plaine de Manduel et Meynes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Redessan », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 », sur rhone-mediterranee.eaufrance.fr (consulté le ).
  19. « cartographie des risques d'inondations du TRI de Nîmes », sur rhone-mediterranee.eaufrance.fr (consulté le ).
  20. « 0 », sur rhone-mediterranee.eaufrance.fr (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Redessan », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN 2-85023-076-6), p. 559b.
  25. Ernest Nègre : Toponymie générale de la France (lire en ligne)
  26. Armand Cosson, « La Francisque et l’écharpe tricolore : Vichy et le pouvoir municipal en Languedoc », Annales du Midi, 1992, no 104-199-200, p. 308.
  27. https://archive.org/stream/EL066L197303030021PFPdfmasterocr/EL066_L_1973_03_030_02_1_PF_pdfmasterocr#page/n7/mode/2up
  28. « Gard : déjà la 5e édition du festival argentique à Redessan », sur midilibre.fr (consulté le ).
  29. Bernard Bastide, « « Jean-Paul Boyer : l'urgentiste des images » », La Gazette de Nîmes,‎ , p. 24-27.
  30. (en) « Home Page », sur Association Jean-Paul Boyer, Festival de cinéma argentique (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :