The Prix Ahmadou-Kourouma is a Swiss literary prize in French language literature created in 2004, awarded annually by the Geneva International Book and Press Fair. The prize, named after Ivorian writer Ahmadou Kourouma, is given to a fiction or essay book on sub-Saharan Africa.

Prize winners

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Year Author Title Publisher (x times) Country Notes Ref.
2004   Esther Mujawayo and Souâd Belhaddad Survivantes. Rwanda, dix ans après le génocide Éditions de l'Aube   Rwanda [1]
2005   Tanella Boni Matins de couvre-feu Le Serpent à plumes   Ivory Coast [2]
2006 Koffi Kwahulé Babyface Éditions Gallimard   Ivory Coast
2007   Sami Tchak Le Paradis des chiots Mercure de France   Togo
2008   Nimrod le Bal des princes Actes Sud   Chad
2009 Kossi Efoui Solo d'un revenant Éditions du Seuil   Togo
2010   Florent Couao-Zotti Si la cour du mouton est sale, ce n’est pas au porc de le dire Le Serpent à plumes   Benin [3]
2011   Emmanuel Dongala Photo de groupe au bord du fleuve Actes Sud   Republic of the Congo
2012   Scholastique Mukasonga Notre-Dame du Nil Éditions Gallimard   Rwanda
2013 Tierno Monénembo Le Terroriste noir Éditions du Seuil   Guinea
2014 Mutt-Lon Ceux qui sortent dans la nuit Éditions Grasset   Cameroon [4]
2015   Mohamed Mbougar Sarr Terre ceinte Présence africaine   Senegal
2016   Mbarek Ould Beyrouk Le Tambour des larmes Éditions Elyzad   Mauritania
2017   Max Lobe Confidences Éditions Zoé   Cameroon
2018   Wilfried N'Sondé Un océan, deux mers, trois continents Actes Sud   Republic of the Congo
2019   David Diop Frère d'âme Éditions du Seuil   France
2020   Hemley Boum Les jours viennent et passent Éditions Gallimard   Cameroon [5]
2021   Blaise Ndala Dans le ventre du Congo Mémoire d'encrier / Éditions du Seuil   Democratic Republic of the Congo [6]

References

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  1. ^ Le Point, Les dix ans du prix Ahmadou Kourouma
  2. ^ Jeune Afrique[1]
  3. ^ Jeune Afrique, Florent Couao-Zotti reçoit le prix Ahmadou-Kourouma[2]
  4. ^ Prix Kourouma 2014 : "Ceux qui sortent dans la nuit" de Mutt-Lon
  5. ^ Le journal du Cameroun
  6. ^ Le Temps, Blaise Ndala: «L'appropriation du corps noir est toujours d’actualité» [3]