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Escos

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Escos
Escos
Le château.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Béarn des Gaves
Maire
Mandat
Pierre Villenave
2020-2026
Code postal 64270
Code commune 64205
Démographie
Gentilé Escossais(e)s
Population
municipale
237 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 26′ 52″ nord, 0° 59′ 48″ ouest
Altitude Min. 23 m
Max. 162 m
Superficie 5,61 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Escos
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Escos
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Escos
Liens
Site web http://www.escos.fr

Escos [ɛskɔs] est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Escos se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 75,2 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 48,1 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 29,1 km d'Orthez[4], bureau centralisateur du canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Sauveterre-de-Béarn[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Castagnède (0,9 km), Oraàs (1,3 km), Labastide-Villefranche (2,0 km), Auterrive (2,2 km), Abitain (3,0 km), Carresse-Cassaber (3,5 km), Saint-Dos (3,6 km), Athos-Aspis (4,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Escos fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Abitain, Auterrive, Castagnède, Labastide-Villefranche et Oraàs.

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Escos.

La commune est drainée par le gave d'Oloron, un bras du gave d'Oloron, le Crabé, le ruisseau de Laclau, le ruisseau de la Pounte, le ruisseau de Massariou, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes[9].

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 348 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein à 9 km à vol d'oiseau[13], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 323,1 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[18], d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[19],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[20],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[21].

Au , Escos est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[22]. Elle est située hors unité urbaine[1] et hors attraction des villes[23],[24].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,4 %), zones agricoles hétérogènes (9,3 %), prairies (7,9 %), forêts (6,8 %), eaux continentales[Note 5] (4,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,1 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Lieux-dits et hameaux

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  • Les Bordes.

Voies de communication et transports

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La commune est desservie par les routes départementales 28 et 936.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Escos est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le gave d'Oloron. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 2009 et 2021[28],[26].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Escos.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[29]. 27,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[30].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Escos est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[31].

Attestations anciennes

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Le toponyme Escos apparaît sous les formes Escos (1105[32]), sanctus johannes de escos (1160[32]), escoz (1305[32]), Escos (1309[32]), Escaut (1352[33], titres de Came[34]), Sent-Johan d'Escos et Escoos (respectivement 1439[33] et 1440[33], notaires de Labastide-Villefranche[35]), Ecos (1582[33], aliénations du diocèse de Dax[36]) et Escos en Navarre (1675[33], réformation de Béarn[37]).

Étymologie

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Escos provient de la racine botanique basque ezk-[32] qui a donné ezkurr (« gland ») ou ezki ('« tilleul ») et du suffixe aquitain os.

Autres toponymes

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Le hameau des Bordes est mentionné en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[33].

Graphie en langues locales

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Son nom béarnais est Escos et son nom basque est Ezkoze.

Paul Raymond[33] note qu'Escos était une dépendance du diocèse de Dax et du duché de Gramont.

Escos est un village navarrais[38], malgré son appartenance aujourd'hui au canton de Salies. (Escos ne rejoindra d'ailleurs ce canton qu'en 1819). Une trace administrative ténue demeure de l'ancienne appartenance d'Escos à la Basse-Navarre : de nos jours, la commune est toujours membre de la Commission syndicale du Bois de Mixe, comme copropriétaire de terres indivises situées en pays de Mixe, entre Bidache et Saint-Palais[39].

Toutefois un quartier du village n'appartenait pas au même royaume que le centre du bourg : « Lagarde d'Escos » dépend lui en effet de la juridiction d'Hastingues et, à ce titre, était en « France », en l'espèce sur le territoire de la sénéchaussée de Dax. Relié continûment au reste de la Gascogne, ce hameau en est donc un avant-poste avancé vers le sud[40].

Par ailleurs, alors que la commune est aujourd'hui séparée d'Ilharre par les bois de Lahire, sur le territoire de la commune d'Abitain, les limites paroissiales n'étaient pas les mêmes sous l'Ancien Régime, et la Basse-Navarre était bien d'un seul tenant, tandis qu'au contraire Labastide-Villefranche était séparé du reste du Béarn : la carte de l'Atlas historique du Béarn, semblable sur ce point à la carte de Hubert Jaillot de la Basse-Navarre de 1689[41] fait clairement apparaître une continuité entre Escos et Ilharre. Les détails du tracé sont précisés par la carte annexée à l'article de Pierre Tucoo-Chala : la commune d'Abitain n'était pas aussi étendue qu'aujourd'hui et la frontière entre Béarn et Navarre se situait au Moyen Âge le long de la « horse d'Abitain », qui était un fossé qu'on peut encore, paraît-il, deviner non loin de la route au sud d'Escos ; les bois aujourd'hui sur le territoire d'Abitain, au sud de Tachouères, sont navarrais sur la carte dressée par Pierre Tucoo-Chala[42].

Escos a fait partie du canton de Bidache jusqu'au 14 juillet 1819.

Politique et administration

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Situation administrative

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Escos a fait partie de l'arrondissement de Pau jusqu'au . À cette date, elle appartient désormais à celui d'Oloron-Sainte-Marie[43].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1989 2001 Jean Larrat    
2001 2020 Daniel Vigneau DVD  
2020 En cours Pierre Villenave    

Intercommunalité

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Escos fait partie de sept structures intercommunales[44] :

  • la communauté de communes du Béarn des Gaves ;
  • le SIGOM ;
  • le SIVU des cinq villages ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat de regroupement pédagogique de Carresse-Cassaber, Escos et Labastide-Villefranche ;
  • le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable Luy - Gabas - Lées ;
  • le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys.

Escos accueille le siège du SIVU des cinq villages.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[46].

En 2021, la commune comptait 237 habitants[Note 7], en stagnation par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
550615601595649587534556540
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
481498512483514498475478460
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
461430437411404376336303287
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
282269256241217228222254237
2020 2021 - - - - - - -
237237-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
Histogramme de l'évolution démographique

La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

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Patrimoine linguistique

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Les deux versions de la Carte des sept provinces basques montrant la délimitation actuelle de l'euscara en dialectes, sous-dialectes et variétés dressée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte placent Escos en dehors de l'aire bascophone.

Le Recueil de linguistique et de toponymie des Pyrénées réalisé en 1887 par Julien Sacaze nous livre pour Escos une version en gascon, composée d'une traduction de deux textes mythologiques, ainsi que d'une liste des micro-toponymes de la commune.

Le Recueil des idiomes de la région gasconne réalisé en 1894 par le linguiste Édouard Bourciez cite pour Escos une version de la parabole de l'enfant prodigue traduite en gascon.

La carte du Pays basque français dressée en 1943 par Maurice Haulon laisse apparaître la "démarcation actuelle entre la langue basque et les dialectes romans", incluant la commune d'Escos dans l'aire gasconophone.

D'après la Morfología del verbo auxiliar vasco [Morphologie du verbe auxiliaire basque], Escos n'est pas située dans l'aire bascophone.

Selon Jacques Allières qui dresse en 1977 la frontière linguistique de la langue basque, Escos est située en dehors de la zone bascophone[49].


Patrimoine civil

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Le château d'Escos à Escos

Patrimoine religieux

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L'église Saint-Jean-Baptiste.

L'église Saint-Jean-Baptiste[50] date partiellement du XVe siècle.

Équipements

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Enseignement

Escos dispose d'une école primaire.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Alexis Ichas - Dictionnaire historique du gave d'Oloron - Éditions Gascogne 2020.

Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Escos » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Escos », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Escos », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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Bibliographie

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  • Pierre Tucoo-Chala, « Aux frontières du Béarn, de la Navarre et de la Gascogne du XIIe au XVIe siècle », dans Bulletin de la société de Borda, 1962, p. 234-250
  • Pierre Tucoo-Chala et Christian Delplat, La Principauté de Béarn, Société nouvelle d'éditions régionales et de diffusion, Pau, 1980, complété par l’Atlas historique du Béarn, cartographie de Monique Morales (même éditeur)

Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

  1. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. Stephan Georg, « Distance entre Escos et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Escos et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Escos et Orthez », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches d'Escos », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  7. Carte IGN sous Géoportail
  8. « Fiche communale d'Escos », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  9. Sandre, « le gave d'Oloron ».
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Orthodromie entre Escos et Saint-Gladie-Arrive-Munein », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Saint-Gladie » (commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Saint-Gladie » (commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Escos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Escos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  26. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Escos », sur Géorisques (consulté le ).
  27. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  28. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  29. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  30. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  31. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  32. a b c d et e Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux (monographie), Pessac, Presses universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », [éd. revue et corrigée] (1re éd. ), 244 p., 21 cm (ISBN 2867813964 et 9782867813962, OCLC 72757865, BNF 40190262, présentation en ligne), p. 103.
  33. a b c d e f et g Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  34. Titres de Came - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  35. Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  36. Registres d'aliénations - ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
  37. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  38. Eugène Goyheneche, Notre Terre Basque : notions de géographie, histoire et culture, Pau, Société Nouvelle d'Éditions Régionales et de Diffusion, (1re éd. 1961), 159 p. (OCLC 850881783, lire en ligne), p. 29.
  39. Odette Bruneau, « Les possessions "navarraises" des Gramont », dans Amikuze-Le Pays de Mixe, Baigorri, Izpegi, (ISBN 2-909262-05-7), p. 98
  40. Pierre Tucoo-Chala, « Aux frontières du Béarn, de la Navarre et de la Gascogne du XIIe au XVIe siècle », dans Bulletin de la société de Borda, 1962, p. 237.
  41. Carte publiée dans le recueil de Clément Urrutibéhéty La Basse-Navarre héritière du royaume de Navarre, Atlantica, Biarritz, 1999 (ISBN 2843941261) ; une version très réduite est disponible en ligne.
  42. Ce luxe de frontières dans le secteur est à l'origine de multiples conflits, ainsi ces deux anecdotes relatées par Clément Urritibéhéty, op. cit. p. 145 : le , faisant fi d'une interdiction prononcée par le sénéchal de Béarn le 22 juin précédent faisant défense aux Navarrais d'entrer en Béarn, des Basques prennent position dans ce secteur dans l'intention de détrousser les Béarnais d'Autevielle en route pour Labastide et pillent la « maison Taxoère des bordes de Labastide » ; mais deux ans plus tard le , ce sont au contraire des Béarnais d'Abitain qui pénètrent en pays de Mixe et font prisonniers plusieurs Navarrais de Gabat « qui rentraient paisiblement d'Escos à leur domicile », blessant et tuant même d'autres paisibles voyageurs.
  43. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de Pau, de Bayonne et d'Oloron-Sainte-Marie du département des Pyrénées-Atlantiques » [PDF], sur un site de la préfecture des Pyrénées-Atlantiques, (consulté le ).
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  50. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Jean-Baptiste