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Dampierre-sur-Avre

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Dampierre-sur-Avre
Dampierre-sur-Avre
L'église Saint-Pierre
Logo monument historique Inscrit MH (1926)[1].
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Dreux
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Dreux
Maire
Mandat
Philippe Lechevallier
2020-2026
Code postal 28350
Code commune 28124
Démographie
Gentilé Dampierrois
Population
municipale
755 hab. (2021 en augmentation de 4,14 % par rapport à 2015)
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 45′ 48″ nord, 1° 09′ 02″ est
Altitude Min. 106 m
Max. 177 m
Superficie 18,27 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Lubin-des-Joncherets
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Dampierre-sur-Avre
Liens
Site web http://www.dampierresuravre.fr

Dampierre-sur-Avre est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

La commune est située au nord-ouest de l'Eure-et-Loir et limitrophe du département de l'Eure, en région Normandie.

Communes, département et région limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 625 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Laons à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 561,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Au , Dampierre-sur-Avre est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,8 %), forêts (22,1 %), prairies (8,8 %), zones agricoles hétérogènes (2,4 %), zones urbanisées (1,6 %), eaux continentales[Note 1] (0,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Dampierre-sur-Avre est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par ruissellement et coulée de boue, notamment l'Avre, le Meuvette et l'Aqueduc de l'Avre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1993, 1995, 1999 et 2018[16],[14].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Dampierre-sur-Avre.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile, des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des effondrements généralisés[17]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 78,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 385 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 311 sont en aléa moyen ou fort, soit 81 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2009 et par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Dampna Petra super Arvam en 1300[21].

Dampierre est un hagiotoponyme caché : Du bas latin dommus et du nom de saint Petrus.

L'Avre (affluent de l'Eure) est une rivière qui prend sa source dans la région naturelle du Perche.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

La vallée de l'Avre est peuplée depuis le paléolithique. En 2005 lors de la création du lotissement Henri 1er Beauclerc à Nonancourt fut mis au jour des pointes de flèches en silex. Il est fort probable que les hommes ayant occupé le site aient eu comme site de chasse ce qui est aujourd'hui Dampierre[22].A noter que tout le long de l'Avre il est courant par endroits de retrouver des éclats ou des silex taillés par des hommes de Néandertal ou des homo sapiens. C'est le cas en amont de l'Avre sur la commune de Verneuil-sur-Avre (d'après le musée de la Tour Grise).

Époque druidique[modifier | modifier le code]

On retrouve des Dolmens aux lieudits Badainville et le Menillet, on en retrouve aussi sur les communes d'Acon qui a fait l'objet de fouille archéologique et à Vert-en-Drouais[22].

Époque gauloise et guerre des Gaules[modifier | modifier le code]

La vallée de l'Avre est peuplé par des gaulois dit celtes du peuple des aulerques éburovices et des carnutes, se trouvant en Gaule lyonnaise. Plusieurs route gauloises traversaient la région, route qui partaient de Lutèce pour aller vers l'Armorique. Les aulerques éburovices étant de la région d'Évreux et occupant le nord de l'Avre, tandis que les carnutes de la région de Chartres occupaient le sud, frontière qui fut totalement définit entre les deux peuples en 50 av. J.-C.. Lors de la guerre des Gaules la région est densément boisée, comme le rapporte Jules César, information qui fut attestée par l'archéologie. Lors du siège d'Alésia les éburovices envoyèrent 3 000 hommes pour soutenir Vercingétorix tandis que les carnutes en envoyèrent 12 000[22].

Époque gallo-romaine[modifier | modifier le code]

Entre 1967 et 1970, des fouilles ont mis au jour un sanctuaire gaulois sur la commune de , d'après les restes monétaires trouvés il daterait du IIe siècle. Dès 1868 des restes monétaire de la période gallo-romaine sont retrouvés sur les différentes communes de la région. En 1877 une statut de minerve est découverte daté elle aussi du IIem siècle et 10 ans plus tard une figure casqué, Postume ou Victorin (usurpateur). Les découverte ne montre pas qu'il s'agit d'un lieu important mais d'une région normale de l'empire. La vallée et ce qui sera Dampierre est bien moins couvert de forêts, la population est probablement supérieur que à la période gauloise pour la zone mais comparée à aujourd'hui elle est insignifiante. Il y avait probablement un certain nombre de grand domaine agricole dans la régions, comme en témoigne des tuiles et des fondations romaines trouvé à plusieurs endroits différent. La région fut christianisée au IVe siècle par saint Taurin d'Évreux[22].

Neustrie[modifier | modifier le code]

La lyonaise fut remplacée avec l'avènement des francs par la Neustrie, la région appartient successivement à Childebert Ier, Clotaire II et à Dagobert Ier et résidaient au chateau d'Étrépagny. Vint ensuite les carolingiens (Pépin le Bref, Charlemagne...), puis fut créé pour Robert le Fort le duché de France qui allait de la Seine à la Loire. Il péri en Anjou, à Brissarthe dans un combat contre les normands en 866. La vallée de l'Avre était prospère puisqu'elle se trouvait loin du Rhin et ne subit pas les attaques des normands, l'Avre étant trop petit pour les bateaux vikings.[22]Néanmoins la région n'était pas à l'abri d'une attaque comme ce fut le cas à Tillières-sur-Avre.

Duché de Normandie[modifier | modifier le code]

Rollon[modifier | modifier le code]

Au début des années 890, Rollon pris possession de Rouen et s'empara d'Evreux. En 911, c'est à dire 20 ans plus tard, il fixa les frontière du comté de Normandie, futur duché de Normandie avec Charles III le Simple. Pour frontière sud il imposa l'Avre[23], ce qui fait que Dampierre sur Avre était divisé entre d'un côté les communes appartenant au duché de Normandie; ex Islou ou Babou, et le sud de Dampierre, dont le village relevant de la souveraineté du roi ou d'un membre de sa famille[22]. Le roi céda aux demande de Rollon du fait d'un pouvoir vacillant qui passa des mains des Carolingiens au Capétiens.

Guillaume le Conquérant[modifier | modifier le code]

A la mort de Robert Ier de Normandie, Guillaume le Conquérant devint duc de Normandie le 3 juillet 1035. Avec la Conquête normande de l'Angleterre en 1066 naquit une situation délicate entre le roi d’Angleterre et duc de Normandie et le roi de France. Du fait de la possession de la Normandie, le Roi d'Angleterre se devait de faire allégeance au roi de France et donc se constituer en vassal.

Époque moderne[modifier | modifier le code]

En 1687, le chapitre de Notre-Dame de Chartres vend la terre et seigneurie de Dampierre-sur-Avre, à Étienne Sallé du Ménillet[24]. En 1764, c'est François-Antoine de Courcy qui est cité comme seigneur de Dampierre-sur-Avre[25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires à partir de 1945
Période Identité Étiquette Qualité
Avant 1988 ? Jacques Planque    
2001 Mai 2020 Alain Bilbille SE Retraité de l'enseignement
Mai 2020 En cours Philippe Lechevallier    

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].

En 2021, la commune comptait 755 habitants[Note 2], en augmentation de 4,14 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 017872782788827830831808778
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
728675662594601636615530513
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
521507509475428407389363344
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
336275248320532611694705745
2021 - - - - - - - -
755--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Pierre[modifier | modifier le code]

Église Saint-Pierre, Logo monument historique Inscrit MH (1926)[1]

Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]

« La Pierre de Badinville ».
« La Pierre de Badinville ».
  • Dolmen « la Pierre de Badinville ».

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Église Saint-Pierre », notice no PA00097092, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Meuvette (H4240600) » (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Dampierre-sur-Avre et Laons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Laons », sur la commune de Laons - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Laons », sur la commune de Laons - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  10. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Dampierre-sur-Avre », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  17. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  18. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Dampierre-sur-Avre », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  21. Bibliothèque municipale de Chartres, Ms24, polyptyque du chapitre Notre-Dame de Chartres
  22. a b c d e et f B. Guingnier, Histoire de la vallée d'Avre et d'ailleurs, Mesnil-sur-l'Estrée, Les quatre saisons, , 350 p.
  23. Pierre Bouet, Rollon: le chef viking qui fonda la Normandie, Éditions Tallandier, coll. « Texto », (ISBN 979-10-210-4556-9)
  24. Archives départementales d'Eure-et-Loir : G 134
  25. Archives communales de Méréglise : GG 3
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.