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Pseudoarchéologie

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Le motif parfois désigné sous le nom d'« ampoule de Dendérah (en) » fait l'objet de théories pseudoarchéologiques, qui soutiennent l'usage de l'électricité par les anciens Égyptiens.

La pseudoarchéologie, aussi appelée « archéologie fantastique », « archéologie romantique », « archéomanie » ou « cryptoarchéologie », est un terme désignant l'archéologie pseudo-scientifique[1],[2].

Les hypothèses risquées proposées par la pseudoarchéologie se caractérisent souvent par leur sensationnalisme à contre-courant des résultats de la recherche historique et archéologique menée selon la méthode scientifique par les chercheurs professionnels. Ces hypothèses obtiennent ainsi parfois une certaine résonance dans l'opinion malgré leur caractère indémontrable et irrationnel.

Thèmes fréquents

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La pseudoarchéologie est souvent liée à des motivations nationalistes ou religieuses, à des croyances ou à une forme d'ethnocentrisme, un biais cognitif tel que l'eurocentrisme, l'afrocentrisme radical, le chauvinisme Hanetc.

On peut citer par exemple :

Sites sujets à spéculation

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Certains sites archéologiques, qui peuvent être étudiés scientifiquement par ailleurs, font l'objet de nombreuses spéculations. Notamment :

Références

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  1. (en) Stephen Williams, « Fantastic archaeology : what should we do about it?» », dans Francis B. Harrold et Raymond A. Eve, Cult archaeology and creationism : pseudoscientific beliefs about the past, Iowa, University of Iowa Press, , 183 p. (ISBN 978-0-87745-176-1).
  2. David Rossoni, « Les démarches alternatives », dans La pseudo-histoire décodée. L'exemple de Rennes-le-Château, Éditions Book-e-Book., , p. 30
  3. Astrig AGOPIAN, AFP France, « Non, les cultures des Incas et des anciens Egyptiens ne sont pas "jumelles" », AFP Factuel,‎ (lire en ligne Accès libre)
  4. Erin Blakemore, « Pourquoi on ne découvrira jamais l’arche de Noé », National Geographic,‎ (lire en ligne)

Articles connexes

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